J'ai respiré pour toi ce brin de ciel
Qui à présent ruisselle
Ces beautés invisibles
Parlé au coeur du temps sensible
Dessiné ces contorsions sur le fil du silence
Qui vont et viennent se balancent
Chanté la douce heure sucrée
Qui r'anime le mât-teint
Pour l'infime de nous qui songe et se repeint
J'ai rattrapé ton or ton rai de lumière
Ton là-haut ton si-aile
Qui vole au bois l'enverdurée sente
A la poésie luxuriante
J'ai franchi pour toi l'arrondi de la plaine,
Passé le fossé, à la lisière hésité
N'apercevant aucune pente où me glisser
Laissant de côté dans ma chair
Le ciel chagrin et la brume empeinée
Et là encoeur je vais et flâne
Dans la féérie de l'art où se glane
Le grand tant en tournant
Les pages tricotées et l'écrin du courant
Den
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Elle a de la chance, cette personne pour qui tu respires si bien...
RépondreSupprimerC'est magnifique, Den ! 😍
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Tout un chacun....
RépondreSupprimerdont/ou
comme l'écrit si bien Victor Hugo dans "ce siècle avait deux ans"
« Ô l’amour d’une mère ! Amour que nul n’oublie
Pain merveilleux qu’un dieu partage et multiplie
Table toujours servie au paternel foyer !
Chacun en a sa part et tous l’ont tout entier. »
Merci Célestine.
Doux samedi à toi.
Je t'embrasse.
Tes mots tricotent l'amour et la beauté
RépondreSupprimerLa tendresse des matins
Les couleurs du silence
Les perles de poésie
Et les féeries du matin
Tes textes, tes photos, ton univers, ta poésie...Avec toi, sur ce lieu, on est ailleurs; ça fait un bien fou: merci!
RépondreSupprimerUn tourbillon poétique qui m'émeut. C'est si beau...
RépondreSupprimerMerci les Âmi(e)s pour vos mots qui me réchauffent... letienne, Anne, Marie, Célestine.
RépondreSupprimerDouce journée à vous ..
je vous embrasse.
Coucou. Tes mots m'emportent. Quant l'amour est là, on est capable de tant de choses pour l'être aimé! Bises alpines et belle semaine.
RépondreSupprimerSuper, Dédé.
SupprimerRavie que tu aimes mes mots.
Gros bisous de chez moi.
Belle semaine à toi égal'aimant.