lundi 27 mai 2013

*Il y a toujours ce qui deviendra la vie que nous menons.....



"Il y a toujours ce qui deviendra la vie que nous menons, et la vie qui l'accompagne, la vie parallèle, qui n'est en fait  jamais advenue, que nous vivons dans notre esprit. 
Nous les appelons nos vies non vécues, parce que quelque part nous croyons qu'elles nous étaient ouvertes,
mais pour certaines raisons, et nous pourrions passer une grande part de notre vie vécue à essayer de découvrir et d'exprimer ces raisons, elles n'étaient pas possibles.
Et ce qui n'était pas possible devient alors aussi, très simplement, l'histoire de nos vies.
Nous ne pouvons imaginer nos vies sans les vies non vécues qu'elles contiennent.
Et ainsi, nos vies sont aussi définies par une perte, mais la perte de ce qui aurait pu avoir lieu, par la perte, en d'autres termes, de ce dont nous n'avons jamais fait  l'expérience".


 Adam Phillips
La meilleure des vies. (Missing out. In praise of the unlived life)

(Réf. : Sur les épaules de Darwin - France Inter - par Jean-Claude Ameisen)
émission du 25 mai 2013

"L'empreinte du danger"


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dimanche 26 mai 2013

*Derrière chaque arbre, chaque buisson, chaque brin d'herbe.....


Derrière chaque arbre, chaque buisson, chaque brin d'herbe folle, une espèce connue,
et pourtant inconnue, d'une richesse spécifique, totalement neuve, re-multipliée.

Quel cadeau !

Quelques criquets engourdis par un hiver trop froid, trop long, à l'imitation d'une précision étonnante ;

Quelques charançons cachés dans des boutons de dietes, mettent à mal leur floraison magnifique.

Chez nous en Afrique du Sud, les insectes ne sont pas les mieux représentés, surtout au Cap,
on les trouve plus dans le  Nord, avec des espèces très jolies.  

C'est l'acrea au vol gracieux et léger, assez farouche.  On découvre sa chrysalide.

Très fin observateur, il faut des ruses de Sioux et beaucoup de patience pour le fixer sur l'objectif.
Sauf s'il a faim, il se saoûle alors d'un nectar trop fermenté, et en oublie sa méfiance et se laisse piéger.

Là une magnifique cétoine endémique, au Cap, couleur vert foncé et noir, vole lourdement tel un bourdon.

Ici, dans la corolle  pleine d'une  protea  des abeilles ivres.
Attention aux piqures... 

Une mante religieuse verte grisonnant s'affaire. Est-elle elle aussi une grande prédatrice,
et après s'être accouplée, dévorera-t-elle son mâle ?

Plus loin, un scarabée "monkey beetle" butine avant tout le monde, à la fraîche.
Fait-il partie des coléoptères ?
Ses ailes lui servent de protection. 
Pour s'envoler les ouvre-t-il  et les libère-t-il ?

Certains insectes munis d'immenses mandibules ressemblent aux bois d'un cerf.
Celles-ci sont utilisées pour se défendre, pour protéger leur territoire, s'approprier une femelle en période de reproduction.

Les combats entre mâles peuvent être extrêmement violents et se terminer par la mort d'un des adversaires.

D'autres encore, ont une trompe pour percer la surface des plantes et sucer leur sève  ; 
d'autres utilisent leurs mandibules pour creuser l'écorce des arbres.

Papa, comment savoir si un insecte fait partie de la famille des scarabées ? 

Facile.. comme le hanneton, ils ont tous des antennes en forme d'éventail  !
Mais avant d'être adulte, le hanneton est très difficile à reconnaître car il ressemble à une chenille.
Ceci dit, contrairement à celles des papillons, les larves sont enfouies sous la terre, se nourrissent de racines, 
et ne se métamorphosent en insecte adulte qu'après trois ans de vie  dans le sol !

Den



















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samedi 25 mai 2013

*Bonne fête maman....




Une bonne fête à toutes les mamans !

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mardi 21 mai 2013

*Zak... (17) ....et j'aime les papillons...



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....Et j'aime les papillons aux immenses ailes, aux motifs variés et aux couleurs éclatantes....

Tous les insectes ne se ressemblent pas,
 mais ils ont en commun parfois des points colorés 
sur le corps.

Leurs couleurs vives leur permettent de prévenir les prédateurs 
qu'ils ne sont pas bons à manger.
Certains sécrètent une substance malodorante afin de les faire fuir.

D'autres ont des rayures, d'autres ont des teintes plus foncées,
 préférant la discrétion, 
afin de mieux se cacher.

Certains insectes ont des aspects étonnants, monstrueux, 
et pourtant ils sont inoffensifs... 

Certains insectes pratiquent le mimétisme, 
afin de ressembler le plus  possible à une fleur,
à une écorce d'arbre, par exemple,
 c'est le cas d'une variété de mante religieuse.
Ainsi les insectes qui l'approchent 
sont immédiatement attrapés par ses pinces et ses puissantes mandibules....

Tous ne pratiquent pas la "ressemblance" pour se nourrir. 
Bon nombre d'entre eux se cachent 
pour ne pas être mangés. 

A chacun se manière de vivre, d'exister...

Certains insectes sont seuls et ne se rencontrent que pour se reproduire...
d'autres vivent en groupes organisés
 et leurs règles  sont très précises.

Den

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lundi 20 mai 2013

*vestiges du passé...



Depuis des décennies, la vieillerie a laissé de longues traces sur les murs décolorés, sur le plancher où la vaisselle sale traîne encore...


Au-dessus de la cheminée une poutre peinte abrite quelques bibelots poussiéreux, 
quelques bondieuseries, vestiges du passé.
Pas de trace de lumière, ou très peu..  celle qui passe à travers les volets, 
ou ce qu'il en reste..
Ici, tout une époque a vécu.
Tout un monde a vécu.



L'étranger, d'un premier coup d'oeil ne voit qu'un amoncellement d'objets inanimés, un amas de ferraille,
des objets sans fonction précise, recouverts de crasse et de rouille.

Par contre l'amateur de brocante et d'antiquités voit là source de richesse.
Avec un  pouce d'imagination.

Un peu de jus de coude aussi, il répond Albin.
Il emprunte les quelques marches qui le conduisent au grenier par une sorte de trappe.
C'est le noir total.

Faut faire attention à ne pas tomber.. avec les insectes, les rats, les chauves-souris...

Un bruit de  pas résonne  sur le bois vierge de toute vie depuis longtemps.
Absence....
Un rai de lumière entrevoit de vieilles malles laissant deviner quelques trésors, 
quelques secrets, des reliques.
Il  tâtonne .
Confus d'avoir pénétré un lieu étrange.. il revient en arrière en évitant de faire crisser
la dernière marche disjointe. Elle gémit libérant la plainte d'un bois vermoulu, endormi depuis...


En réalité il faudrait peu de chose pour que tout renaisse.
Toujours en cherchant, en tâtant,  il est entraîné bien malgré lui vers une autre pièce invisible au premier abord,
où sont accrochées des photographies rattachant le passé au présent.
Les grands-parents, la forêt jadis, des almanachs..
Des débris de vaisselle jonchent le sol sali. Que de poussière !
et un odeur de renfermé..
Il hésite encore, un court instant : la pendule accrochée ne donne plus l'heure.
Piteux état.
honteux d'avoir divulgué quelque intimité, il abandonne à regret ce lieu pourtant magique.

A peine parvenu sur le seuil de la porte d'entrée, il se retourne à remords, et dévale en trombe les cinq, six marches qui le séparent d'une lumière très vive, qui pique presque aux yeux.

Tout un monde a vécu là.

Quelque peu fatigué par cette découverte, il court vers un autre sentier qui le fait descendre au pied
d'un autre versant ou peut être bien au fond de la vallée où on trouve toujours des terres cultivées
que le soleil caresse.

Là comme ailleurs, on ne laisse perdre aucune parcelle de soleil !

Den

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dimanche 19 mai 2013

*Ne viens pas trop tôt, amour, va encore,



"Ne viens pas trop tôt, amour, va encore, 
L'arbre n'a tremblé que sa vie ;
Les feuilles d'avril sont déchiquetées par le vent.

La terre apaise sa surface 
Et referme ses gouffres.
Amour nu, te voici, fruit de l'ouragan ! 
Je rêvais de toi décousant l'écorce".

René Char
Eloge d'une soupçonnée
Poésie, Gallimard





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vendredi 17 mai 2013

*Au coeur du pays cathare..

Des mots mystérieux tournent autour de la tête d'Albin...
Cathares. Catharisme. Le Graal. Hérésie.

Autant de mots impénétrables survolent l'éperon rocheux qui émerge fièrement des contreforts des Pyrénées..
Montségur...



Des mots vides de sens, indéchiffrables pour Albin, dont il voudrait connaître la signification, l'origine.

Des gens au village, ou dans les villes environnantes en parlent parfois, à demi-mots, à Montségur souvent,
à ce qu'il paraît. Des initiés, on dit.



Il n'a pas beaucoup lu Albin. 
Alors comment savoir ?
A qui poser des questions ?

Le silence paraît aussi récalcitrant que celui qui pèse aujourd'hui, sur l'Espine, plus d'un demi-siècle après,
et traverse  là-haut  le ciel de Montségur et sa forteresse légendaire devenue sanctuaire..
le château du Graal et son secret devenu mythique ..
au sommet du "Pog"..

Aussi étonné que l'étranger qui arpente les chemins initiatiques au coeur du pays ariégeois..en quête de... d'eux-mêmes ?
Albin a repris la route.

Il se retourne brusquement, et observe la forêt;
En bas, il s'arrête. 
Son regard d'avant en arrière revient de là-bas, jusqu'à maintenant, sur son ancien domaine.

Une immense tristesse, une lassitude inexpliquée,   gonflent  son coeur et remontent jusqu'à ses  lèvres.

Il murmure intérieurement.. Dardet..



Le soleil émerge tout à coup de l'horizon, illuminant son banc de pierre, aujourd'hui, comme jadis ;
sur la cime de la montagne le bâtiment et la palissade se découpent avec netteté.
Sa montagne barbouillée d'immensité, par l'invisible pinceau du peintre apparaît soudainement, 
tel un grand oiseau lumineux volant au-dessus de son pays.



Puis, sans s'énorgueillir, ou très peu, dans sa force tout à coup retrouvée, Albin songe tout haut :
"c'est vrai, elle demeure ma montagne..mon Dardet... mon refuge...".

Après un court silence, il continue son monologue plein d'espoir ;
et d'un pas rude de montagnard, il reprend sa canne, symbole de vie...
de mémoire..


Den




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jeudi 16 mai 2013

*Les bâtisses annexes ont disparu....


A Dardet, de l'habitation principale elle-même, il ne reste que l'essentiel.

Les bâtisses annexes ont disparu.

Les rues vides de toute humanité paraissent plus longues, quoi qu'envahies par de hautes herbes.


Elles conservent encore leur alignement que marquent les traces de murs, de vie.

Cette destruction partielle et ces vides donnent au hameau un aspect pitoyablement triste, comme la mort.

Une allure de chose abandonnée, et c'est bien là le visage morne et mutilé des villages laissés pour compte.
Auxquels on a renoncé.

A Dardet ou à l'Alibert, ou à Patane, la vie s'est arrêtée un jour..

Le 13 mai 1986.
C'est indiqué d'une croix sur l'Almanach des Postes, accroché au mur par une punaise.
A Dardet. Albin l'a dit.

Ceux qui sont partis n'ont guère songé au désastre qu'ils occasionneraient.

Ils se sont mis en marche vers des sites ignorés ou attractifs, vers des villes prometteuses, vers les basses terres, plus riches, ou vers l'inconnu et ce qu'il contient en lui d'espoirs et de désirs renouvelés.
Mirages.

Les terres arables glissent le long des pentes sans cesse poussées par le soc creusant les sillons.



Il faut la remonter cette terre grasse à la bonne saison de bas en haut. Elle est rare et elle est mince, et nul ne doit en laisser perdre la plus petite parcelle. Miroirs.

Mais les autres, à l'esprit d'indépendance, ceux qui ne renoncent jamais, ceux qui poursuivent leur vie si difficile soit-elle, dans ce cadre amoindri, dévasté par la solitude, pensent malgré eux au passé, aux traditions plus vieilles que leurs souvenirs à l'histoire, comme Albin, en bas dans la ville de l'Espine.
L'histoire...



Den


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mercredi 15 mai 2013

*Sur le chemin forestier....


Il se souvient Albin de ces années tièdes.. ou chaudes ;
tièdes et chaudes..

Sa mémoire fugitivement roule à nouveau sur le chemin forestier près des fougères.

Il longe, précédé par ses soeurs, deux bancs de pierre, et débouche sur l'esplanade de l'Alibert
qu'il contemple à nouveau comme si c'était la première fois, comme l'étranger découvrant ces sites fabuleux !

Face à eux, l'école, l'église, l'épicerie faisant fonction de bar, surgissent de façon abrupte du fond des souvenirs..

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Des jours à se remémorer sa vie, là-haut. Des heures.
...Les vaches à rentrer quotidiennement à l'étable dont les clarines tintent encore du côté des cimes.
...L'élevage permettant d'avoir un peu d'argent par la  vente, au printemps, dans les foires de la région,
le bois à couper, à entreposer sous le vaste hangar... 
les allées et venues entre la forêt et la ferme, l'école quand on peut, la classe... la pêche.

Comme jadis, la cheminée fume du côté de Patane, et son propriétaire âgé aujourd'hui de plus de 84 printemps, relie l'autrefois au maintenant.

Albin s'est dirigé vers la forêt de Malèze, elle-même identique au bois de Montaud et de Malard.

Au fur et à mesure qu'il s'achemine dans son ventre, les troncs géants aux reflets irisés l'impressionnent davantage. Quelle grandeur  du haut de ses sept ans.

Petit homme, il a hésité un instant avant d'abandonner la lumière si particulière d'Ardet, pour pénétrer une autre obscurité silencieuse, presque froide. Frissons.

Tandis qu'il avance lentement sous des grands troncs de mélèzes, et de sapins, il escalade un monticule de roches recouvertes de mousse. 

Immobile, il écoute, aux aguets, laissant couler sur son front de minuscules gouttelettes de transpiration.
Battement de son sang sur sa tempe.

Il écoute le coeur de la forêt, bois à mature jadis.

Plus bas une cascade forestière laisse échapper des eaux trop longtemps retenues en elle.

Puis  s'échappant subitement de ces géants à l'aspect trop sombre, il se précipite vers une des sorties qu'il connaît le mieux, qui libérera son angoisse sous-jacente, emportant dans ses bras le bois pour cuire le repas du soir.

On ne sait jamais qui va se cacher là...

Puis pour avertir le clan des Delpech de sa redescente vers le logis, en arrondissant ses lèvres, Albin imite le cri d'un animal blessé, espérant quelque réponse.
L'écho de son essai renvoie par les rochers et se perd dans l'immense voûte verte qui se referme sur ses secrets, sur elle-même conservant en son sein son mystère et le cri étouffé.

Pressant le pas, il se laisse glisser entre des roches fendillées.

Tapi, tel un animal, une fois encore il réitère son essai. Nulle réponse.

C'est l'heure de la sieste et les parents ne l'entendent pas.

Solitude d'une enfance enfermée dans un sous-bois ombragé à rêver d'autres jeux interdits.

Den

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mardi 14 mai 2013

*Un vent au parfum de printemps..


La route d'Albin sinue encore et grimpe.
A travers la vaste forêt elle l'a conduit jusqu'à l'ancien moulin à aube... Là, on enjambe les eaux de la rivière glacée aux rives boisées.
Plus haut encore, elle grimpe entre les parois abruptes et rocheuses d'une autre forêt taillée pour lui livrer passage. Une autre.
Par cette ouverture un vent au parfum de printemps vient à la rencontre de l'étranger qui ose jusque là porter ses pas.
De l'autre côté, c'est l'adret, et il se trouvera subitement plongé dans une lumière nacrée, étonnamment distillée par la voûte que forment les fleurs de milliers d'arbustes différents, ceux-là même qu'Albin découvre depuis les hauteurs de sa forêt natale, à ciel ouvert ;
ébloui par tant de beautés, bercé par une nuée d'insectes qu'attire cette floraison précoce, Albin s'assoupit avant d'arriver à l'école... 

Den







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dimanche 12 mai 2013

*En pénétrant dans le jardin.....



"Chaque année, un jour de printemps, en pénétrant dans le jardin, je ressens le même choc, la même stupéfaction.

Chaque année, c'est le même émerveillement devant les bourgeons qui éclatent  et commencent à éclore ;
devant le début des feuilles, cette dentelle verte qui décore les branches et tremble sous la brise.


Une fois encore, les jours vont s'allonger ; la lumière et la chaleur revenir. Les feuilles se former, puis les fleurs et les graines.

Animaux et végétaux vont exploser de vie  et de croissance.

Indifférente aux affaires des hommes, la grande machine de l'univers continue de tourner, inexorable.

Plus que l'océan et les tempêtes, plus que la montagne et les glaciers, plus que la voûte célestes et ses galaxies, c'est  ce petit frisson vert, qui parcourt les arbres, et vous surprend un matin de printemps,
qui me donne, avec la force de l'évidence, l'impression d'assister au spectacle grandiose qui, depuis quelque douze milliards d'années, agite la grande scène de l'univers".

François Jacob
(la souris, la mouche et l'homme)

(Réf. : Sur les épaules de Darwin - France Inter -  par Jean-Claude Ameisen)
émission du 11 mai 2013

"Présence"

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vendredi 10 mai 2013

*Juju..



Pour mon Papa,
qui aurait eu 99 ans aujourd'hui ...

Ses roses qu'il aimait tant !






jeudi 9 mai 2013

*Zak.... (16) et les insectes.....



Zanèle adore tous les insectes, je vous l'ai déjà dit, et ils sont très nombreux dans le monde,
plusieurs millions d'espèces différentes, notamment les chenilles qui rampent sur les feuilles
dont elles se nourrissent.

Certaines ont un drôle d'air. Celle que j'ai trouvé pour elle a autour du cou un collier coloré,
marron foncé, avec des ronds blancs, on dirait des yeux et des cornes rosés. Ce n'est pas le plus beau 
des insectes.. mais Zanèle la trouve belle, alors... ! 

Mais les chenilles sont-elles des insectes ?  Peuvent-elles avoir des piquants ou des couleurs vives sur le corps pour décourager tout prédateur de les manger. Certaines ont même de faux yeux .

Les bêtes rampantes ne sont pas toutes des insectes. Par exemple les araignées leur ressemblent ,
mais comment faire la différence....? 

L'araignée a huit pattes et son corps comprend la tête, le thorax et l'abdomen soudés entre eux.

Adultes les insectes n'ont plus que six pattes et leur corps est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen.

Le papillon est bien un insecte.


Den


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lundi 6 mai 2013

* Zak au Parc Kruger (15)....


Pendant ce week-end qui durera trois jours, on ira visiter le Parc Kruger, au nord, près de la frontière du Mozambique. En famille. Super. J'adore.

Levés tôt, départ en 4x4 ...Plus pratique pour la route. .. avant le lever du soleil.

Hop ! c'est parti.....



A l'entrée,  un  grand panneau annonce le Parc, précisant le nom de son créateur, ainsi que son buste.

A quelques mètres, une première piste, et on aperçoit les hippopotames, extrêmement massifs, groupés,
semi-aquatiques, qui dorment sur des rochers au soleil  ; dès qu'ils nous aperçoivent, ils lèvent la tête et ouvrent leurs larges mâchoires à la recherche.. on ne sait... 

Puis c'est au tour des girafes à la démarche gracile  : elles  mâchouillent   élégamment des feuilles en haut des arbres.





Quelquefois un oiseau pique boeuf pendu à leur cou enlève les parasites.

Des petites antilopes appelées impalas, en groupes, nous disent bonjour en fixant l'objectif  de leurs yeux fendus.







Ensuite les gnous défilent, en troupe, mais loin des appareils numériques de mes parents.

J'ouvre de grands yeux. Ebahis.  Roulons doucement, papa..... 

Que d'espèces différentes. C'est un régal !

Des crocodiles se prélassent dans un rayon de soleil.

Des hordes de buffles.

Tu as vu, maman.. tu as vu.....


On aperçoit aussi des rhinocéros aux cornes impressionnantes... 



Des éléphants prennent un  bain de boue. Là.




Là-bas, des petits suivent papa et maman, laissant traîner leur trompe pour renifler les odeurs....
ou chercher à manger....




Des oiseaux multicolores vivent leur vie d'oiseau, haut dans le ciel.... difficiles à photographier, ceux-là.

Dis, papa, pourrons-nous voir le calao sur son arbre, à la recherche de serpents ?




Plus loin, au fond du Parc, peut-être aurons-nous la chance d'apercevoir les lions majestueux faisant la sieste 
ainsi que les léopards tachetés, cachés pour l'instant dans leur tanière !

Den



                                                                                              pour mes trois p'tits gars !
                                                                                                  Mamy Den


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