Tes petits chats sont morts,
L'un après l'autre, dans la nuit froide de l'automne,
Tu cherches un réconfort,
Minette triste, qui contre moi te pelotonnes.
De ton premier amour
Ce bel été, au mas de nos vacances ensoleillées,
De ton beau troubadour
Reste seul, en ton coeur, le souvenir des bonds
(dans l'herbe parfumée !
Si tu pouvais parler,
J'écouterais tes mots, tu me dirais ta peine
(comme un confiteor...
Si tu pouvais pleurer,
Mon doigt enlèverait ta larme, au coin de tes yeux d'or !
Cyr Chaix
Scolarêver en Pays Bleu(Poésie)
(un hommage très amical et "ensOleillé" du Poète - 8 juillet 1990)
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