de la fenêtre à la porte, de la vitre à la route....: Heureuses Fêtes de Noël....

mardi 23 décembre 2014

Heureuses Fêtes de Noël....

A toutes et tous

Je vous souhaite d' heureuses fêtes Noël....

Dans la joie, la paix, la sérénité.

Je vous embrasse

Et vous dis

A très bientôt

Den

*****

10 commentaires:

ANNE23 décembre 2014 à 12:31
tous mes voeux à toi. Que la Paix irradie les maisons,les foyers afin que la vie coule douce et que s'apisent els tourmentes!
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Maria-Lina23 décembre 2014 à 12:50
Un gros merci, à mon tour je vous souhaite à toi et tous les tiens de très joyeuses fêtes dans la joie, la tendresse et surtout la santé! Gros bisous!
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Denise23 décembre 2014 à 14:20
Chère Den, je viens te souhaiter un très heureux Noël entourée de ceux que tu chéris.
Qu'il soit beau, doux et serein, c'est mon voeux le plus cher.
Je t'embrasse fort
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Den23 décembre 2014 à 16:33
Merci à vous mes Âmies de coeur, Anne, Maria-Lina, Denise...
Je vous embrasse.
Den
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Maria-Lina24 décembre 2014 à 12:06
Un gros merci! Je te souhaite à toi et tous les tiens de très Joyeuses Fêtes dans la douceur, joie, tendresse et surtout la santé! Gros bisous!
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Den24 décembre 2014 à 18:56
Oups ! doublon ! ce n'est pas grave... je reprends volontiers tes mercis ma chère Maria-Lina...
Douce soirée.
Den
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Anonyme25 décembre 2014 à 09:30
belle recherche et joyeux noël
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Den25 décembre 2014 à 11:32
Merci à toi... et un doux Noël de ma Provence natale.
bisou heureux comme cette journée qui s'annonce avec tous mes petits...
Paix, joie, sérénité.

Den
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Veronica B27 décembre 2014 à 22:39
Que la paix se pose ...
Sur nos coeurs de roses ( un peu de fleurs ne fait pas de mal hein, on en a bien besoin ... :)
Que les vents s'apaisent
Que l'année, nouvelle, de beaux espoirs, éclose ...

Douce fin d'année mon amie ...
La paix est déjà et toujours sur ton espace, n'oublions pas l'essentiel ...
Je t'embrasse très fort.
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Par Den :
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La Rue

"A la terrasse d'un café, un homme regarde l'évolution d'un monde qu'il ne reconnaît plus ; un monde avec ses gestes nobles et indigents, ses mouvements et ses incohérences. S'il avait été peintre, il l'aurait dessiné mais ce monde-là aurait condamné à l'imaginaire et au sordide la fixité de l'image : cet univers de poussière, cette reproduction immuable des mêmes symptômes de la vie, ce cafouillage d'instants éternels, c'était la rue. Perdu dans la foule, isolé dans ses songes, cet homme qui n'a pas de nom,, observe ce long cheminement anonyme de destins qui se mêlent et s'entrecroisent sur le pavé. Avec l'oubli de soi-même qu'impose parfois le vide ou le trop plein de l'esprit, il regarde et s'enivre de solitude. En réalité, on lui avait "appris" à être seul ; c'était comme une manière de "ne pas être" chez lui.

Tout à coup, la nuit tombe comme un long manteau d'hiver, les étoiles montent aux arbres et le ciel ferme boutique. Il n'y a plus personne dans la rue sauf toujours cet homme, à la terrasse d'un café dont les portes sont closes. Plus rien que le silence et l'indifférence d'hier et d'aujourd'hui dans un rêve de folie lucide et presque élucidée. Et, sur ce boulevard abandonné aux déserteurs, elle apparaît avec son visage d'enfant des rues et son allure de femme amoureuse. Elle est belle, douloureusement belle pour l'homme dont le regard boit son ombre. Cette femme sans nom qui ne fait que passer et qui n'est pas tout à fait ni dans son monde, ni dans celui des autres, est balayée par le froid intense qui se dégage des murs.

Si elle était une fleur, elle serait sublime ; si elle était un parfum, elle serait envoûtante ; si elle était un paysage entier, elle serait généreuse et bienfaisante ; si elle était une oeuvre d'art, elle serait parfaite et donc ne serait pas. Mais, elle n'était qu'une femme et elle était fragile, comme une fleur, un parfum, un paysage entier ou même une oeuvre d'art".....(....)

L'autre moitié du songe m'appartient

Alicia Gallienne

Gallimard