Quand l'ombre se glisse au-dessus de la pointe debout
Et se cache
En donnant sa tiédeur à la plus tendre d'entre elles....
Mes douces heures frémissent fugitives, comme les ailes ondulent
Et se faufilent en battement et vibration
En chant et son de l'accord sensible...
La gracieuse-T en lieds aimables en Dante à l'aigre-gros altéré...
Sème comme on danse à la renaissance de la nouvelle saison
Douce
En sOleil éclairé
Dans le choeur de mes mots.
Den
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Le chant de tes mots parle beau ...
RépondreSupprimerLa musique adoucit ton cœur ...
Là où la mère et la fille se retrouvent ...
Là où tu apaises la douleur ...
Je t'embrasse sur une note douce et confiante ...
Merci chère Veronica pour ce chant sensible qui parle beau, vibre quand la musique est au coeur et calme tendrement le chagrin..
Supprimerbisou rendu sur notre accord amical.
Den
Une subtile combinaison de sons et d'effluves comme seule tu sais les imbriquer.
RépondreSupprimerC'est beau et virevoltant.
Quant à tes glycines, je m'y noie avec délice.
Bisous Den, belle journée
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine pour ce choeur chanté parfumé...
SupprimerJ'aime que tu l'aimes...
Les glycines parlent à notre mémoire, avec plaisir et volupté je crois, depuis bien longtemps... bien avant la petite enfance !
Une bonne soirée.
Bisou.
Den