"Compagne et initiatrice de la poésie, elle ouvre en grand les portes de ce lieu noir qu'est l'écriture, de ce non-lieu ou de ce "lieu hors de tout lieu", où tout ce qui existe se trouve à la fois défiguré et reconfiguré.
La mélancolie prend ses aises dans la musique mieux que dans le langage. Quand elle investit le langage, c'est presque toujours pour le musicaliser. Elle affectionne l'immatérialité de la musique, que l'on ne peut ni saisir ni voir, et qui cependant est là, "vague et soluble dans l'air", aussi impalpable qu'omniprésente.
La musique habite le monde, comme l'humeur habite le corps : elle s'y trouve partout, et nulle part, elle modifie sa perception, ses rythmes et sa figure"
Mercure de France (1996)
le septième jour de la pensée
extrait de la poésie malgré tout
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Comme il est bon de venir commencer la journée sous ton ciel en lisant Maulpoix qui incite toujours à la réflexion...:-))
RépondreSupprimerDe tout coeur je t' embrasse
J'en suis fort heureuse, Mathilde !
RépondreSupprimerJ'aime moi aussi Jean-Michel Maulpoix, le multiple,
avec ses recueils poétiques,
dont l'écriture lyrique
mêle et entraîne la réflexion critique.
Je continue de naviguer
avec grand bonheur sur les lignes de tes carnets,
dont j'apprécie la douceur
de tes mots, de tes photos,
l'ambiance intimiste.
Merci, merci, trop longue est la liste.
Je t'embrasse du plus profond de mon coeur
en ce début de soirée (bien avancée)...!
et je te dis à bientôt sur tes pages,
avec .... b o n h e u r !
je t'embrasse.