Espérons alors que l'Univers fasse le tri entre ceux qui veulent de bonnes choses, et les autres... Belle journée Den, pluvieuse chez moi... ¸¸.•*¨*• ☆
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec monsieur C. Je pense que le moteur principal du changement, c'est d'abord soi-même. Mais j'apprécie beaucoup les petites fleurs qui égaient ma grise journée. Bises!
Ces lignes sont extraites de l'Alchimiste de Paulo Coelho, conte philosophique tiré d'une nouvelle de Jorge Luis Borges, où Santiago, un jeune berger andalou, à la vie simple, mais en quête du monde, fait un rêve récurrent, à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides, lequel deviendra le but premier de cet homme, pour poursuivre sa légende personnelle... Pendant ce voyage il va vivre des instants de doute, de peur, d'hésitation, mais malgré ces mises en épreuves, il ne laissera jamais tomber son dessein, son projet, son destin. Et après les nombreux personnages rencontrés, l'Alchimiste qu'il rencontre dans le désert lui apprendra à écouter son coeur, à lire les signes pour aller au bout de ses rêves, au bout de lui-même, au bout de sa réflexion. Santiago ne trouvera pas le trésor, mais par contre il apprendra et développera au cours de cette initiation, des vertus telles que la patience, l'observation, la méditation, la connaissance de soi, de sa propre identité et de celle des autres .. L'auteur nous offre ici un véritable outil d'introspection... l'Alchimiste qui est le personnage-clé permettra à Santiago de révéler le vrai Trésor qui est en chacun de nous...dans la quête elle-même... ce conte est en réalité une métaphore, qu'un prétexte à la connaissance de soi...où chacun est libre de réaliser ses rêves et d'être en harmonie avec ses désirs.
MERCI Dédé, Maria-Lina, Célestine de revenir dans mes allées, et d'y déposer vos grains de bon sens. Bonne fin d'après-midi, en espérant que le gris de ta journée aura disparu, Dédé, que la joie aura été au rendez-vous ce dimanche, Maria-Lina, et que la pluie aura laissé la place au sOleil, Célestine. Je vous embrasse. Den
Couleur nuancée... dualité des mots...pas toujours faciles de les expliquer.... désirer, c'est quand l'idée, la pensée n'est pas encore rendue claire... quand notre mental n'a pas encore décidé, il n'a qu'effleuré...l'idée... par contre quand le désir est un peu plus marqué, il devient souhait, son caractère devient positif, dynamique. Il ne se dissipe pas, il est tangible, mais pas encore réalisable. Désirer, envier... vouloir, c'est allier le désir à une volonté qui maîtrise l'âme sur le corps. De désirer à vouloir, deux termes qui n'incombent qu'à nous. Vouloir n'est pas souhaiter.. c'est accomplir.
Merci Sabine... de se retrouver ici avec Paulo Coehlo, tant aimé, bien sûr... de demeurer un instant sur le coin de la page... sans pleurer, promis ? Je t'embrasse aussi. Den
Oui Sabine, je suis allée sur le blog de Lorraine, et j'ai lu tes mots, merveilleux messagers.... Lorraine, une belle âme et une belle plume, en effet... je reviendrai la lire davantage. Moi aussi je t'embrasse "tout fort".... Den
Oui, Veronica, que nos rêves, nos espoirs fleurissent comme ce printemps qui se profile à l'horizon. Une belle semaine à toi. Je t'embrasse fort, aussi. Den
Espérons alors que l'Univers fasse le tri entre ceux qui veulent de bonnes choses, et les autres...
RépondreSupprimerBelle journée Den, pluvieuse chez moi...
¸¸.•*¨*• ☆
...Sûr............
RépondreSupprimerMerci Célestine.
Ici ciel gris, sans pluie.
Pensées amicales vers toi.
Den
Tellement beau, un gros merci!!! Bise, bonne journée dans la joie!
RépondreSupprimerJe ne suis pas tout à fait d'accord avec monsieur C. Je pense que le moteur principal du changement, c'est d'abord soi-même. Mais j'apprécie beaucoup les petites fleurs qui égaient ma grise journée. Bises!
RépondreSupprimerMerci chère Den pour ces ravissantes petites fleurs blanches. Cela aide à passer des journées grises.
RépondreSupprimerMes amitiés et mes bisous ♥
Merci Denise.....
Supprimerje t'embrasse en cet après-midi gris ici aussi...
Den
Ces lignes sont extraites de l'Alchimiste de Paulo Coelho, conte philosophique tiré d'une nouvelle de Jorge Luis Borges, où Santiago, un jeune berger andalou, à la vie simple, mais en quête du monde, fait un rêve récurrent, à la recherche d'un trésor enfoui au pied des Pyramides, lequel deviendra le but premier de cet homme, pour poursuivre sa légende personnelle...
RépondreSupprimerPendant ce voyage il va vivre des instants de doute, de peur, d'hésitation, mais malgré ces mises en épreuves, il ne laissera jamais tomber son dessein, son projet, son destin. Et après les nombreux personnages rencontrés, l'Alchimiste qu'il rencontre dans le désert lui apprendra à écouter son coeur, à lire les signes pour aller au bout de ses rêves, au bout de lui-même, au bout de sa réflexion. Santiago ne trouvera pas le trésor, mais par contre il apprendra et développera au cours de cette initiation, des vertus telles que la patience, l'observation, la méditation, la connaissance de soi, de sa propre identité et de celle des autres ..
L'auteur nous offre ici un véritable outil d'introspection... l'Alchimiste qui est le personnage-clé permettra à Santiago de révéler le vrai Trésor qui est en chacun de nous...dans la quête elle-même... ce conte est en réalité une métaphore, qu'un prétexte à la connaissance de soi...où chacun est libre de réaliser ses rêves et d'être en harmonie avec ses désirs.
MERCI Dédé, Maria-Lina, Célestine de revenir dans mes allées, et d'y déposer vos grains de bon sens.
Bonne fin d'après-midi, en espérant que le gris de ta journée aura disparu, Dédé,
que la joie aura été au rendez-vous ce dimanche, Maria-Lina,
et que la pluie aura laissé la place au sOleil, Célestine.
Je vous embrasse.
Den
On ne doit pas "vouloir", juste ..............souhaiter !
RépondreSupprimerUne adepte de Paulo toi aussi ? Un de mes livres préférés est "Sur le bord de la rivière Piedra, je me suis assise et j'ai pleuré"
Je vais encore restée assise un peu sur le rebord fleuri de tes pages mais ....sans pleurer, promis ! A tout de suite .....Sabine.
Couleur nuancée... dualité des mots...pas toujours faciles de les expliquer.... désirer, c'est quand l'idée, la pensée n'est pas encore rendue claire... quand notre mental n'a pas encore décidé, il n'a qu'effleuré...l'idée... par contre quand le désir est un peu plus marqué, il devient souhait, son caractère devient positif, dynamique. Il ne se dissipe pas, il est tangible, mais pas encore réalisable.
SupprimerDésirer, envier... vouloir, c'est allier le désir à une volonté qui maîtrise l'âme sur le corps.
De désirer à vouloir, deux termes qui n'incombent qu'à nous.
Vouloir n'est pas souhaiter.. c'est accomplir.
Merci Sabine... de se retrouver ici avec Paulo Coehlo, tant aimé, bien sûr...
de demeurer un instant sur le coin de la page... sans pleurer, promis ?
Je t'embrasse aussi.
Den
Den, je viens de laisser ces mots de Paulo sur un blog d'une mamie malade "Lorraine" , une mamie à l'âme et à la plume MA GNI FI QUES !
RépondreSupprimerLes mots sont de merveilleux nomades, tour à tour panseurs sur les chemins ou magiciens ....!
je t'embrasse tout fort Den : sabine
Oui Sabine, je suis allée sur le blog de Lorraine, et j'ai lu tes mots, merveilleux messagers.... Lorraine, une belle âme et une belle plume, en effet... je reviendrai la lire davantage.
SupprimerMoi aussi je t'embrasse "tout fort"....
Den
Pour toutes nos espérances ...
RépondreSupprimerQu'elles fleurissent comme autant de bouquets de roses ...
Je t'embrasse fort ma chère Den ...
Oui, Veronica, que nos rêves, nos espoirs fleurissent comme ce printemps qui se profile à l'horizon.
SupprimerUne belle semaine à toi.
Je t'embrasse fort, aussi.
Den
un complot de bonheur, on est partante!
RépondreSupprimerTout à fait Sylvie.... la bien-venue chez moi dans ces allées de mots et d'images... merci.... à bientôt.
SupprimerDen