Au sens premier, il est un lieu fermé,.....
où il cache le vin et les provisions, à l'abri de la chaleur et de la lumière.
Les maisons des Hébreux ne comportaient pas de grenier, mais des chambres protégées, parfois creusées dans la terre : un cellier.
Il est aussi un abri caché où l'on déposait les offrandes, mais aussi le produit des dîmes.
Et encor' :
la chambre du trésor.
Le second ciel, la chambre secrète, l'intériorité.
Au sens mystique, la connaissance de soi.
L'âme qui se connaît parvient à exercer la charité à l'égard d'autrui.
Elle donne ce qu'elle possède et refuse de conserver pour elle seule les bienfaits reçus, savourant les nourritures spirituelles.
*****
Mon cellier ne m'a pas inspiré tant de concepts, mais c'est bien d'en apprendre les diverses significations, merci Den
RépondreSupprimerJ'ai manqué d'imagination.... manqué d'inspiration....
Supprimerde gros bisous Marine.
Bon après-midi.
Den
Merci pour ce beau partage, superbe!!! Bise, bon jeudi dans la joie et la douceur!
RépondreSupprimermerci Maria-Lina..
SupprimerBon après-midi à toi.
Je t'embrasse.
Den
Manqué d'inspiration ? mais il est magnifique ce billet, den !
RépondreSupprimerEt il touche à quelque chose de très important: notre essentiel.
Quant au vin, il est aussi essentiel pour moi ^^
Surtout le très bon !
¸¸.•*¨*• ☆
Merci Célestine, tu es gentille !
Supprimerbonne soirée....
Oh Céle-y-est !
bisou, bisou.
Den
Hé hé ! joli jeu de mots !
Supprimer¸¸.•*¨*• ☆
merci Célestine ! tu as pu écouter Chopin ?
Supprimerbisou.
Bon dimanche à toi.
Den
Manque d'imagination? ;-) Je souris. Car pour moi les tonneaux qui renferment le vin sont primordiaux. J'aime le vin, et toute ce qui l'entoure, la bonne nourriture, les échanges avec le vigneron, les senteurs de la vigne. Et puis la connaissance de soi, c'est également important. Si on n'arrive pas à se connaître un tant soit peu, comment peut-on prétendre connaître les autres? Alors non, ton billet n'est pas vain, bien au contraire! Bises
RépondreSupprimermerci Dédé, et pour cela, je vais te faire sourire, je viens de lire cet article, sur les tonneaux, durant la 1ère guerre mondiale, et que je te livre aussitôt.. "durant la 1ère guerre mondiale, dès octobre 1914, l'intendance afin d'améliorer la vie des Poilus dans les tranchées, ajouta une ration de vin à l'ordinaire des troupes. Tout soldat reçue quotidiennement 1/4 de vin. Cette ration fut reconnue insuffisante et doublée par le Parlement, en janvier 1916. Ce 1/2 l fut augmenté en janvier 1918, et la ration passa à 3/4 l par jour..
SupprimerC'est dire l'importance considérable que fut le tonneau pour le transport du vin jusqu'au front".
Or "si le vin ne manque pas, en revanche les tonneaux manquent au vin. Depuis le début des hostilités, la tonnellerie ne fabrique plus et par contre les besoins qu'elle doit satisfaire ont sans cesse grandi... si tous revenaient à leur point de départ ! beaucoup hélàs ! une fois vides s'égarent sur la route du retour, beaucoup d'autres reviennent, glorieux blessés de guerre, aux douves cassées, brisques coûteuses... des remèdes ont été cherchés : faute de bois de chêne, on a eu recours au bois de châtaignier dont l'usure sera plus rapide. Malgré tous ces palliatifs, l'intendance pousse un cri d'alarme : "si vous voulez du vin, ménagez vos tonneaux" clame-t-elle desesperement".
Point de détail de l'histoire, que je ne connaissais pas... comme beaucoup d'entre nous, je suppose, et à cet instant je pense à mon grand'père paternel, Léon qui était parmi les Poilus...
Alors tchin-tchin Dédé, Célestine.... c'est du bon, du très bon !
Carpe diem !
douce journée à vous.
Den
...tout soldat reçut... pardon...
SupprimerJe ne connaissais pas non plus ce fait historique. Nom d'un tonneau!
RépondreSupprimerMerci pour l'histoire et santé à vous deux également. :-)
Etonnant !
Supprimerbisou.
Un doux dimanche à toi Dédé.
Den
Bonjour chère Den, ton billet sur le cellier me plaît beaucoup. Je n'en ai pas mais un verre de vin avec un bon repas, cela ne se refuse pas. Comme le dit Dédé c'est aussi tout ce qui l'entoure, l'harmonie et un bon moment autour d'une table comme une fête.
RépondreSupprimerBel après-midi à toi et mes amitiés.
Bisous ♥
Suis d'accord avec toi, Denise, ce qui ne fait pas mal, ne peut faire que du bien, hein !
Supprimeren bonne harmonie, sans excès...
Un doux dimanche à toi, dans la sérénité et la paix.
Den
On peut lui donner un autre sens comme un petit lieu où l'on emmagasine tes mots vibrants qui attendent l'occasion de sortir pour s'envoler vers le ciel en vue de leur épandage sur la belle prairie mythique. je t'embrasse poétesse
RépondreSupprimerBravo bizak... merci.... pour les mots qui touchent, remplissent d'émotion et s'envolent au-delà de l'étoile âmie pour s'éparpiller au pré du passé en belle allégorie....
SupprimerJe t'embrasse aussi.