J'ai traîné jusqu'au jour d'hui mes err'aimant de coeur dans mon paquet-âge...
Puis j' ai trouvé mon "moi" à présent, après sans, pressant le pas d'hier ou de ce jour,
En passant solitaire.....
Mes seuls mots..
Ils ont pleuré long temps mes mots avant l'écrit sur la page Âmie, mes maux, ils sourient à présent,
A demi-mots non amers, forts en trouble non déguisé, mes mots....
Ils ont parlé haut et fort - longue-aimant,
Puis ont atteint la quiétude du temps, du tant, des ans,
Qui es-tu (de) ?
La page nous le dit, tu dis, Âmi(e) !
Mère-si d'avoir suivi mes pas claudiquant de saisons en saisons passées.
Je t'embrasse dans le silence re-trouvé de la toi-le....
Den
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Que c'est beau et touchant Den et ta photo est magnifique! Bise, bon dimanche tout en douceur!
RépondreSupprimerMerci Maria-Lina,......
Supprimer... je te souhaite un heureux dimanche.
bisou.
Den
Il fut un temps où j'écrivais mes maux en mots. Et le simple fait de les mettre sur une page ou sur un écran d'ordinateur, je retrouvais un tant soit peu de sérénité et de quiétude. L'écriture comme un exutoire, voilà ce que m'inspire ton très beau texte qui accompagne si bien cette belle photo. Belle semaine à toi et bises!
RépondreSupprimerQuand l'écriture d'hier, sans gîte ni abri se prête au jeu des mots retenus, comme une parole qui souffre, qui se presse dans l'urgence... elle cueille et offre en pâture dans le lit de l'océan solitaire, sur la page, l'étoile, ses mots, et les abandonne, détachés d'eux-mêmes comme d'un autre...
Supprimerbien choisis, bien placés, bien organisés, dans un certain ordre, d'une certaine manière généreuse, ils sont dans la nécessité d'être livrés, délivrés en permettant la réconciliation avec soi avec les autres... pour une reconnaissance en composant vrai comme on parle.
...Sauvés les mots, hors champs, hors solitude, dans le secret, car ils disent, expriment, ressentent, chantent ou pleurent... mais ils délivrent en enfantant, en ne retenant plus.
Les mots, les maux communiquent entre eux et se reconnaissent, mais ils ne disent pas tout.
Ils effleurent seulement la page dans le silence échangé.
Merci Dédé..
Belle semaine à toi aussi.
Bises rendues.
Den
On sent un apaisement dans ton texte.
RépondreSupprimerUne quiétude.
Ravie de te voir revenue vers tes chers mots que tu sais si bien tricoter ensemble.
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Merci ma chère Célestine....
SupprimerBelle journée à toi.
Bisou.
Den
Tes amis seront toujours là pour lire tes mots, ma chère Den, car ils résonnent en nous tes mots, ils nous parlent. Merci pour cela.
RépondreSupprimerBon après-midi à toi, et des bisous.
Tu es gentille Françoise, merci pour tes mots bienveillants.
SupprimerUn doux samedi.
Bisou amical.
Den
Te suivre à travers les saisons c'est ...retrouver en nous la fleur prête à éclore, un peu de sable d'or, la feuille poète, le flocon de la montagne sacrée !
RépondreSupprimerLe plus châle-heureuse-aimant du monde : sabine
De saisons en saisons passées, seule la châle-heure retient, revient et embrase le monde.
SupprimerMère-si Sabine pour tes mots aimants, comme j' aime.
Je t'en brasse en ribambelles venteuses qui sifflent sur le moi réchauffé... et c'est la maison qui grêle-haute....
Den