La vie déploie ses ailes
Et attise le feu et l'étend et l'éteint
A-paix-en l'éventail de pluie aigayée de vent divin
Comme l'oiseau s'envole vers le pays des déités immortelles
Tu passes l'écrin l'écran doux d'étoiles constellées
Et souffles en Eole l'air au vis-sage serein
Et tu répands ton nectar au creux de ton lit-cage
Ton vaisseau d'argile, de bois, ton si beau vaisseau son bastingage
Ton nid ton abri
Et mon pas solitaire s'attache
Quand tout dort tout s'apaise et se cache
En mots doux
En âme attendrie
Et le mât-teint s'éveille sur le prin-d'an
Et toi le Poète à chacun de ses battements
Te révèle à la beauté du temps vivant.
Le temps coule
Et pourtant....
Den
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