Le Très-Or se découvre en longues et preuves du ciel, en obstacles..
Il est entré en mon coeur en fouillis au fond de la matrice matern'elle, la grotte d'origine, l'antre sombre, obscur et profond..
Il est d'Or, long tant, des heures encavernées en vie d'attente, en inter-rieur, au centre et au coeur,
En terres nidées, en sous terrain...
Mais le lent de la face-hade souvre largement du côté du jour, lequel vient d'un feu qui irradie en arrière,
vers le Haut, et le Loin..
L'allume-hier arrive d'un soleil invisible..
Mais dit la route que l'Âme doit cheminer intelligible, pour découvrir le Bien et le Vrai, l'Intelligence, le Monde, celui des Idées..
Den
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C'est toujours un plaisir de te lire Den ! Tu es une magicienne des mots...Ils me parlent ces mots mis bouts à bouts...
RépondreSupprimerA bientôt !
Quand les mots recueillis engrangent en grappes le long de la page,
SupprimerQuand les mots courent dans l'encre bleutée de nos ciels,
Quand accrochés les uns aux autres liés en lianes nattées,
Racontent ode dedans l'histoire des heures cousues en lisière d'orée, débordée,
Prés des chants silence-cieux coulent aux tours des sillages qui massent l'Aime mots
Le coeur errant hume à l'or en berceuse du soir l'espoir plein de douce heure...
Merci... "un ange qui passe", Clo... pour m'aime mots mis bouts à bouts..
Bonne fin de soirée.
Den
ET te lire "est clair", éclaire si fort que demain/deux mains pousseront la fen-ETRE!
RépondreSupprimer..La fen-Etre est tout-verte et é-claire Râ tous jours l'Inuit au jour d'hui et des deux mains...
SupprimerMerci Anne pour ton empreinte-(pas) sage !
bonne journée à toi.
Den
j'ajouterai que te lyre éclair comme la musique fulgurante de tes mots....toujours En Vie de venir chez toi pour m'abreuver...je t'en brasse (comme tu le dis si bien)...
RépondreSupprimer.. Quand ma lyre instrumentale s'accorde à la musique de t'aime mots, je relis volontiers Victor Hugo, Ô poète !
SupprimerEt le poète dit : "Nous y viendrons un jour.
Versez dans vos jardins plus de joie et d'amour.
La rêverie a peur des portes et des grilles.
La Liberté, parmi les socs et les faucilles,
Chante dans les près-verts, et rit sous le ciel bleu.
L'homme fait le jardin, les champs sont faits par Dieu".
le 19 juin 1839
Victor Hugo
(Toute la Lyre)
Ma page est ouverte en abreuvoir du ciel chère Malou, et t'en vite..
à temps tôt..
de ma nébuleuse étoile enjardinée, je t'en brasse fleurie.
Den
je suis sous le charme de ta prose si poétique, merci Den.
Supprimer...Suis sous loc'h charme tu dis (comme en Bretagne !).. merci Malou..bisous..
RépondreSupprimerDen
Bonjour Den, ce petit mot pour te dire que tout est beau, texte et photos. C'est d'une grande douceur.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
...Merci Denise.
RépondreSupprimerBonne soirée à toi.
Den
Puissions nous un jour découvrir "pour de vrai" ce "Beau" tant aimé dans les fugaces reflets de nos vies !
RépondreSupprimerBonne soirée, Den !
RépondreSupprimer.."C'est la conscience humaine du Beau qui différencie le Beau du Laid"
RépondreSupprimer(Lao Tseu)
...Le pourrons-nous un jour , "pour de vrai"??. découvrir ce "Beau", ce "Bien"."Le beau c'est le vrai bien habillé" a dit Honoré de Balzac....
Bonne soirée à toi aussi ma chère Fifi.
Den