Quand le chat-craint l'an porte sur l'en-chant-aimant
L'hallali l'allègre-S... les maux perlent au coin des y-eux
Et je vais toute petite plus que ne suis en corps
En Art-est...
Et je pousse ici un cran de l'haie-toile Âmie
Et crie et parle et lis
L'écris
Respectant l'espace vibrant
Et me pose à coup d'un deux trois
Et me pose à coup d'un deux trois
Je ne t'oublie pas
M'aime si je prends de la distance
Mais tu d'hommes-heure dans mon coeur tous jours
Au choeur des miens
Et en mère-veille veille...
Il n'est pas besoin de se voir pour se regarder au fond de soi
De quelque chose en nous par oeil.....
Ici je passe comme "les Grandes Baigneuses" de Cézanne,
Enigmatique...
On ne les connaît pas...
Elles sont sans identité sans attrait personnel
Sans trait trop marqué
Sans voilure
Elles sont toutes en une comme je suis aussi...
Sans canon de modèle existant, sans charme ni luxe.... !!
"La peinture est un bain, elle se nage".
Je t'en brasse et t'effleure en délicates roses.
Den
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Bonjour ma chère Den, je suis émerveillée par tes mots toujours aussi beaux et par tes photos ainsi que la magnifique toile de Cézanne. Merci pour ton merveilleux billet.
RépondreSupprimerBel après-midi Den avec mes amitiés.
Je t'embrasse ♥
Merci Denise pour tes mots pleins de délicatesse.
SupprimerJe t'en brasse aussi.
Bel après-midi, sous la pluie ici.
Den
Tu as une façon de ciseler les mots, comme un bijou avec des fils d'or en leur donnant un charme et un parfum irrésistible. Oui on baigne dans une ambiance de chant, de poésie quand tu donnes aux mots une sensibilité originale mais tellement magnifique. Une brassée de bises, Den
RépondreSupprimerDes rives en rêves divagués
SupprimerJ'appose mon moi au coeur du sommeil
Silencieux
Au bord du toit trempé
Quand le jour habille son ciel ses heures ses rues-elles
De rouge de bleu et s'enrose
L'aube est magicienne et caresse ses beautés ses flagrances sucrées
Quand la brume dépose ses larmes pétries de mêle-ancolie.
Au fil-amant de ma plume émue
J'écris et te donne l'effet-mère resplend'hissant qui surgit de l'à-côté mystérieux
Quand la poésie exprime son infini et bouillonne de sentiments soufflés au creux de l'oreille des arbres transportés d'ambre et d'allume-hier qui nourrissent l'errance.
Merci bizak....
Bonne soirée à toi en brassées fleuries.
Den
Que de jolis mots, Den, dont toi seule as le secret, et pour notre plus grand plaisir. Et cette photo, qu'elle est belle et comme je l'aime.
RépondreSupprimerMerci pour ce billet si poétique, Den. Je t'embrasse.
Merci Françoise pour tes mots...
SupprimerJe te souhaite une belle journée, et t'embrasse.
Den