mercredi 6 avril 2022

*Dis-moi, c'est quand

*Dis-moi, c'est quand ?


Quand l'arc-ange caché dans l'arène et le coeur du ciel se réveille et mêle-l'eau-et-dit l'harangue-hein, il appelle le bel oiseau avec son archet et frotte le son qui se répand, se prolonge dans la profonde-heure des choses, et l'en-faon soupire et polit le temps qui borde  le soleil et prend l'amen-tenant les trois loges, les trois lumières accrochées aux étoiles,


Le merveilleux enfant qui en-chante l'âme et le fil de soie veut entendre ce que lent ne dit pas derrière les mots, les crochets ; la femme-met des très-ors dans la vie, assise par terre à regarder les cailloux sur le mur en corps ou près des nuages d'ombre et de solitude.


Je mêle au grain du vent  mon bonheur du jour mon oeil oui lippe qui s'accroche-coeur à la peau ici de tous mes voyages, emportée dans un élan qui souffle l'air, la ligne ou l'eau, je n'sais.


Vers l'ailleurs, m'en souvenant, je plume usant fort l'écorce de l'heure tardive quand art-rive le souard, en séant en tailleur en plumard, et là j'oublie tout ce tant intemporel qui passe comme passe le vent, le vin, sous le vent, j'abandonne les cendres les mégots les funestes fumées pour redevenir jeune.


Je cherche l'embellie, l'imperceptible à la porte du ciel, l'étoile, l'Avent pour ranger mes mots venant longs, prestes et agiles.


J'arc-humante et sais-d'hui avec peu d'hello-qu'anse, mais l'eau-danse au fond du puits de l'âme de toi. Coule-heures.


Je regarde loin le monde beau en coeur une foi, c'est qu'adoré !


Je t'embrasse du bord de mon imaginaire effleuré qui en aube pointée entrera aux premières lueurs matinales quand les senteurs bon la nuit, s'endormiront en hymne-âge dans une robe parfaite de cristal.


Den





 

2 commentaires:

  1. A la porte de tes mots, brille une embellie, une petite étoile poétique aux lueurs d'espoir et de beauté

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Par Den :
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