La montagne mère de toutes les montagnes du monde
Superbe d'élan
Joie de tout l'univers
Se révèle citadelle
D'émeraude verte.
Son reflet devient le bleu de la voûte céleste
Et soutient la terre en son point d'appui
Lui permettant d'exister d'être.
Centre du monde, son nombril, son paradis
Ses ramifications ses veines souterraines
En mouvement
Et quand Dieu le voudra
Il provoquera un séisme par ses rameaux.
Du visible à l'invisible personne ne sait ce qu'il y a derrière.
Seul IL sait les créatures qui y vivent.
Siège de l'oiseau fabuleux miraculeux il respire en reclus
Dans une solitude claustrale, content.
En sage conseiller des rois des héros
Sa hauteur verticale élevée
Roche taillée qui murmure
Le transcendant.
Vue d'en haut elle est la pointe du vertical
Vue d'en bas de l'horizon elle apparaît comme la ligne
L'axe universel, l'échelle, la pente à gravir.
Elle est partout la montagne sacrée
Stable, pure
Triangle droit elle est la demeure des Dieux
Et son ascension figure comme une élévation vers le ciel
La marche vers la lumière.
La montagne du milieu du monde
Où Cybèle symbole de l'éther et de la force vit.
Elle est la voie qui mène aux cieux, le refuge des taoistes
Qui sortent du monde et entrent en montagne.
Den
Un poème à lire et relire tant il est empli d'émotions et d'images:
RépondreSupprimerOù le ciel est plus bleu,
L'infini silencieux
Où crie une présence,
En immense espérance
Le monde sera plus beau"
Quand je pense que je suis montée sur la montagne sacrée en ignorant tous ces mystiques secrets des dieux…
RépondreSupprimerSuperbe ode à la montagne de Cezanne.
Bisous Den et encore bravo pour ce texte magistral
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Une jolie balade au travers de tes mots, tout en émotion et en douceur.
RépondreSupprimerLes montagnes sont le toit du monde, même les petites.
Du sommet, tout devient petit, mais d'une beauté intense qui devrait nous inspirer la modestie et le respect.
Merci Marie, Célestine, letienne.
RépondreSupprimerBon après-midi ombragé.
Je vous embrasse près de notre montagne de la ste victoire au-dessus de laquelle le ciel est toujours bleu.
Bonjour chère Den, avec beaucoup de retard, je viens chez toi. Ton poème est magnifique et rempli d'émotion avec une très belle photo. Je reviens gentiment sur les blogs après une longue pause.
RépondreSupprimerJe t'embrasse et j'espère que tu vas bien ♥
HEUREUSE de te retrouver Denise.
SupprimerAbsente des blogs en ce moment. Oui je vais bien. Merci.Bien occupée....
Je t'embrasse aussi.
Elle va loin, elle va brut, elle va haut, la montagne, elle nous élève et tu le dis très bien Den, elle est l'axe universel !
RépondreSupprimerc'est joli ce que tu écris Marine. Merci...
Supprimerl'axe universel.....
BISOUS