J'ai décoché quelques sOleils pour toi
Pour enflammer tes nuages
J'ai soupiré dans les rues-ailes les sillages
De ton bateau les mouillages
Sous les rides les claquements d'oh
Dans le coeur abyssin l'instant haut
Brin de terre accroché à l'aire de tes rêves
Qui clapotent sous les perles les mares de pluie
Tu fugues et tu t'endors en habit de fête
Sur les rivages, les mirages
Sur l'éphémère de la nuit fragile
Qui dit les maux, les mots, la vie labile
Tu souffles et pousses un pan de ciel
Que tu vas croquer comme une lune de miel
....Là j'aperçois ton ombre accrochée à la dune
Où tu déroules sur le sable l'embrume
Le par-chemin usé ridé déridé
Du brin d'an envolé déchiré
Den
Superbe texte, chère Den
RépondreSupprimerJ'y retrouve le sel de ta poésie si singulière.
Et j'adore tes jeux de mots.
Je trouve que nous sommes en harmonie sur le thème.
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Merci ma chère Célestine ...
SupprimerTout en accordance....
Doux dimanche à toi.
Bisous
Je lis et relis, chaque mot est empli de milliers d'émotions... Ta poésie est un "par-chemin" qu'on déroule toujours avec le même plaisir et l'on y découvre chaque fois des trésors... Qu'importe si les brindilles de l'an passé se décolle de la toile, on y mettra à la place des étoiles, des fleurs et de jolis coquillages...
RépondreSupprimerMerci Marie...
SupprimerTes comment-taire sont des bijoux déposés dans leur écrin...dans un champ pittoresque.