J'ai décoché quelques sOleils pour toi
Pour enflammer tes nuages
J'ai soupiré dans les rues-ailes les sillages
De ton bateau les mouillages
Sous les rides les claquements d'oh
Dans le coeur abyssin l'instant haut
Brin de terre accroché à l'aire de tes rêves
Qui clapotent sous les perles les mares de pluie
Tu fugues et tu t'endors en habit de fête
Sur les rivages, les mirages
Sur l'éphémère de la nuit fragile
Qui dit les maux, les mots, la vie labile
Tu souffles et pousses un pan de ciel
Que tu vas croquer comme une lune de miel
....Là j'aperçois ton ombre accrochée à la dune
Où tu déroules sur le sable l'embrume
Le par-chemin usé ridé déridé
Du brin d'an envolé déchiré
Den
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