Les écharpes sombres descendues du ciel ont étiré leur robe de nuages filés en feuilles ridées.
Elles ont festonné leur bord parti en balade emportant ton regard silence-cieux et ta poésie,
T'accrochant aux rondeurs féminines des dunes sablées comme sur un miroir,
Le miroir de la vie légère qui oscille entre l'ardoisé et la lumière.
Tes mots
retrouvés de bonne heure, sont un poème transmis par la bouche du
là-haut,
Et offerts comme un joyau devenu oiseau qui s'envole dans le ciel rayonnant de sOleil !
Den
Coucou Den. Ce ciel t'a inspiré de biens jolis mots. Que serait notre monde sans poésie? Bises alpines.
RépondreSupprimerUn ciel qui t'a joliment inspiré, ma Den.
RépondreSupprimerJ'adore les rondeurs des dunes...
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Tes mots sont des joyaux venus des nuages et des soleils couchants
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