S'il faut s'enfouir dans la chair du
poème
S'il faut pour avancer se terrer avec
lui
Jusqu'à la pulpe du silence
Jusqu'au secret où il murit
S'il faut pour épouser ce monde
Pour être un baume sur sa plainte
Se faire étoile pour soi-même
Devenir tendre avec chaque matin
J'arpenterai sans me lasser
Les vergers noueux du chemin
Guetteur de mots même
impossibles
Où patiemment la joie grandit
Jean Lavoué
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Un doux week-end à vous.
Den
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Den
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Les poemes de Jean Lavoué me touchent beaucoup, je me retrouve dans ce qu'il écrit, merci Den
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que ça marche chez toi, donc mais on me dit que mon Navigateur GG est dépassé, mais je ne trouve pas comment le mettre à jour
J'aime aussi beaucoup les mots de Jean Lavoué, leur profondeur.
SupprimerMerci Marine.
Oui ça marche. J'ai dû avoir recours à un informaticien ce matin, et c'est réparé. Pour toi malheureusement je ne peux être d'aucun secours.. Pose la question à quelqu'un de compétent tu gagneras du temps, je ne sais comment mettre à jour un navigateur !
Je t'embrasse.
Bonjour ma chère Den,
RépondreSupprimerCe poème est vraiment très beau, très doux je trouve, j'aime lire que la "joie grandit" :)
Bonne fin de semaine, merci à toi pour ton commentaire, gros bisous !
Merci Floralie...
SupprimerBonne fin de semaine à toi aussi.
Je t'embrasse.
Superbe!!! moi aussi, je veux arpenter les chemins de la création pour goûter aux joies du monde!
RépondreSupprimerOui arpenter, Anne, tous les chemins de la création, ou les autres qui découvrent toutes beautés ! MERCI à toi.
RépondreSupprimerbisous.