J'ai l'envers-tige austère dans un coin de ma chair,
un pan de moi laisse trace en mots nobles
qui s'envolent
jusqu'au coeur frémissant.
Ma peau rêve encor' au ponant
quant le grand soleil ôte ses pétales juponnés.
Si tu veux flânons dans l'éphémère en rire cendré
dans la venelle du si-aile
voyageons dans le coeur précieux des autres,
qui file plane et flotte
sur les pas du mât-teint.
Den
Oui, "flânons dans l'éphémère en rire cendré"
RépondreSupprimerVolontiers.
RépondreSupprimerMerci Marie.
Bon après-midi.