J'ai réouvert la porte cadenassée à double tour, de tout ce dont je me souviens, et de tout ce dont je veux me souvenir, et j'ai entre aperçu un faible rayon de soleil se glisser dans la fente ténébreuse de la nuit.
Il joue avec des nuages marqués, et finit par se terrer là.
Den
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Chercher à apercevoir la tranche de soleil, la lumière, entre le ciel et la terre ...
RépondreSupprimerTes photos ennuagent de paix mon ciel ...
La mer est au ciel,
SupprimerDressée sur les vagues
Qu'elle touche parfois,
Et éclabousse les nuages
Qui enveloppent tout...
Merci Veronica !
Bonjour Den,
RépondreSupprimerN'y a-t-il rien de plus précieux qu'un rayon de soleil en hiver ?
Lorsque l'automne dénude l'horizon et se presse d'éteindre la lumière tôt en soirée,
le moindre éclat posé sur la joue devient caresse offerte.
Je souhaite de tout coeur que le vôtre se mette à danser.
Je n'ai plus de bons os mais je suis bien chaussée,
accepteriez-vous qu'au seuil de cette porte entrouverte, nous osions danser la ronde des saisons ou encore... d'attraper au filet quelques nuages filants ?
Mes songes aiment parfois s'amuser de nos sentiments...
Et vos mots, eux, savent les dénicher là où ils se cachent.
Merci pour ce partage,
Une toute douce journée à vous,
Lydaine.
"Attraper au filet quelques nuages filants", comme des papillons...
RépondreSupprimeravant que le pâle soleil du doux automne ne se glisse dans mes yeux trop fatigués par ses rayons brûlants d'août, que les zéphyrs ne dispersent les feuilles tombées dans les allées de mes mots, que la palette du peintre cachée on ne sait où, ne dépose un brouillard lumineusement léger dans l'air... "alors nous oserons danser la ronde des saisons"....
je vous le promets..mais seulement derrière les nuages marqués...
Douce soirée à vous Lydaine.
Avec mon amitié, sincèrement..