Toutes ces perles d'eaux gorgées d'écume de terre de galets
Se nourrissent des vagues fragiles...
Elles veillent sur le sable fin qui dessine la mousse de nos pieds,
S'étirent
S'étirent
Jusqu'au bord le plus chaud de la grève.
Pacifiée je suis.
Je les aime couchées.
Oui, les eaux apaisent, guérissent, avancent sur l'onde leur roulis
Je cueille et parle aux embruns recouverts de poussière d'eau
Qui le tout et le rien, oublient,
Les béances sombres,
Le bout bleu du ciel virginal.
J'aime leur indolence, leur langueur,
Leur va et vient à fond respiré
Leur grâce
Qui glisse sur le chemin vers la mer puérile et trace.
Mes yeux dans le lointain gambadent,
Frémissent,
Et mes pensées vagabondent
Frémissent,
Et mes pensées vagabondent
Bienfait des pauses.
RépondreSupprimerUn présent plaisant où le temps ne compte plus pareil !
Supprimerdouce pause Marie des jours et des bonheurs !
A bientôt.....
Voyage au bout des vagues et on se laisse emporter
RépondreSupprimerMerci les Âmies, Marie, Denise, Floralie !
Supprimerdoux samedi à vous toutes.
Je vous embrasse.
Comme j'aime tes mots ma chère Den, ils sont si doux et apaisants avec de belles photos. Je me sens toute légère.
RépondreSupprimerDoux week-end et mes bisous ♥
Bonjour ma douce Den,
RépondreSupprimerUne pure merveille ton texte et tes photos, bravo ! à toi !
Bisous et bonne semaine !
Bonjour chère Den, profite de ta pause dans ce bel été. J'aime tes mots, si doux.
RépondreSupprimerJe t'embrasse ♥