J'ai décoché quelques sOleils pour toi
Pour enflammer tes nuages
J'ai soupiré dans les rues-ailes les sillages
De ton bateau les mouillages
Sous les rides les claquements d'oh
Dans le coeur abyssin l'instant haut
Brin de terre accroché à l'aire de tes rêves
Qui clapotent sous les perles les mares de pluie
Tu fugues et tu t'endors en habit de fête
Sur les rivages, les mirages
Sur l'éphémère de la nuit fragile
Qui dit les maux, les mots, la vie labile
Tu souffles et pousses un pan de ciel
Que tu vas croquer comme une lune de miel
....Là j'aperçois ton ombre accrochée à la dune
Où tu déroules sur le sable l'embrume
Le par-chemin usé ridé déridé
Du brin d'an envolé déchiré
Den
****
Un morceau de ton soleil, de cette lumière mise dans tes vers afin d'éclairer ma journée neigeuse.
RépondreSupprimerMerci ma chère Chinou pour la lumière qui brille dans mes mots... je te renvoie un rayon de mon sOleil de printemps pour ta journée que j'espère pleine et belle.
SupprimerMerci pour ta présence.
Bonjour Den
RépondreSupprimerta photo me rappelle mes couchers de soleil à Trois Pistoles et ton texte est superbement approprié au sentiment qui se dégage de cette photo
Merci Robert pour ton commentaire lointain par la route, mais proche sur l'Etoile Amie.
SupprimerHeureuse que ma photo te permette de retrouver un instant les Trois Pistoles et que mes mots animent cette image et tes souvenirs....
Amicalement de la Provence jusqu'au Québec.