"femme à la fenêtre"
Ubaldo Oppi (1921)
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La période de l'entre deux guerres est celle d'un retour à une peinture classique et académique qui donne son nom au mouvement Novecento.
Les peintres cherchent à revenir aux références de l'antiquité classique dans l'harmonie de la composition, des formes.
Ils rejettent la peinture moderne d'avant-garde pour faire revivre la tradition de la peinture d'histoire.
"Nous voulons un art italien pur, inspiré de sources pures, dégagé de tous les "ismes" d'importation qui le dénaturent".
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Comme qui dirait, revenir aux fondamentaux ! C'est comme revenir aux sources; Oui dégagé de tous les ismes, c'est comme un peu se dégager de l'empaillage. Bises et beau weekend Den
RépondreSupprimerOui, bizak, revenir à l'essence-ciel, à ce qui indispensable, le naturel,dans la beauté simple de l'infini, avec ce regard qui regarde loin et haut, dans l'immensité de son instant...
SupprimerMerci à toi pour tes mots qui rajoutent du sens au sens ...
douce semaine.
bises rendues.
Den
Tellement beau, cette toile est magnifique! Bise, que ta journée te soit belle et douce!
RépondreSupprimerNaturellement dans sa simplicité .... le regard qui voit loin et haut...
RépondreSupprimerMerci Maria-Lina d'être venue jusqu'ici....
Bel après-midi à toi.
Bisou.
Den
Bonjour chère Den, je trouve cette toile magnifique et cette femme a un visage doux. le peintre a réussi à lui apporter un tel regard que je me demande... mais que regarde t'elle avec tant d'insistance. J'aime beaucoup.
RépondreSupprimerDouce fin de journée avec mes bisous ♥
Ubaldo Oppi, peintre italien, est né à Bologne le 29 juillet 1889 et est décédé le 25 octobre 1942. Il est l'un des initiateurs du groupe Novecento dans les années 1920, l'interprète du réalisme magique.
SupprimerAvant cela, il voyage beaucoup, et rencontre Klimt aux Beaux-Arts de Vienne en 1902, puis Modigliani, et s'installe à Venise.
Ce tableau "femme à la fenêtre" la représente, immobile, le regard plongé dans le lointain, silencieuse et charmante, empreint d'une certaine mélancolie, voilé d'une légère tristesse. Son bras gracieux, replié sur le début de sa hanche. Que regarde-t-elle ? joliment vêtue, joliment coiffée. Elle paraît attendre. Une oeuvre constituée de douceur, énigmatique et nostalgique, qui interroge, simplement.
Visage extrêmement beau, fin, aux contours harmonieux, délicat, également beauté du corps qui se devine, peu dévoilé... une nappe déposée sur la balustrade. Ses invités sont-ils partis, ou attend-elle quelqu'un ?... ou seule, elle profite de la plénitude de l'instant qui se repose.
L'oeuvre rêveuse ne peut se limiter à une lecture superficielle. emportée dans quelque contemplation romantique.
Le temps s'est arrêté là sur la toile, et s'écoule tranquille, en attendant....
ne dévoilant aucunement le secret du regard bien gardé.
Merci ma chère Denise...
Je te souhaite une soirée toute douce et tranquille.
Je t'embrasse.
Den
Un beau portrait sur fond de paysage paisible, revenir au classicisme, s'en éloigner , tout est richesse !
RépondreSupprimerOui le portrait est fort beau, je trouve... tu as raison Marine, "revenir au classicisme"... par le Novecento, ou s'en écarter vers d'autres courants artistiques .... le goût n'est qu'une subjectivité... il dépend du temps, de l'instant... de l'époque, de la mode...
SupprimerL'Art est éclat, magnificence... pour le découvrir il suffit d'ouvrir son regard. Enfin, le plus souvent !
Je t'embrasse Âmie aux mots virevoltants.
Den