de la fenêtre à la porte, de la vitre à la route....: Michel Pépé

mardi 26 septembre 2017

Michel Pépé - Liberta (relaxing, soothing music)

Une merveilleuse musique entendue chez Marie ...et j'ai eu envie, à mon tour, de vous la transmettre.

Pour Célestine, Bizak, Bonheur du Jour, Sabine, Veronica, Mathilde, Fifi, Françoise, Chinou, Marine, Denise, Maria-Lina, Dédé, Dé, Elisanne, Anne, Jacques, AlainX, JeanMi, Floralie, Pastelle, Michèle, Marie, mes plus fidèles, et celles et ceux que j'ai pu oublier, qu'ils me pardonnent !

Profitons encoeur et toujours de ces beautés cueillies et offertes.

Je vous en brasse en ribambelles fleuries.

Den

*****

14 commentaires:

Dédé26 septembre 2017 à 21:11
Coucou Den. Quelle délicate attention! Merci pour ce moment de sérénité et de douceur. Il n'y a pas à dire, la nature est si belle pour qui sait la contempler et la respecter.
Bises alpines et belle nuit.
RépondreSupprimer
Réponses
Den26 septembre 2017 à 21:20
Oui Dédé, c'est si beau !
Une douce nuit à toi aussi...
Den
RépondreSupprimer
Réponses
Célestine ☆26 septembre 2017 à 21:30
Merci de tout coeur den pour cette apaisante musique qui fait un bien fou à l'âme.
Liberté, oui, le mot le plus précieux.
Le mot le plus beau après le mot amour.
Tendres pensées
¸¸.•*¨*• 🦋
RépondreSupprimer
Réponses
bizak27 septembre 2017 à 11:40
Quelle belle mélodie, une musique relaxante et sublime que j'avais déjà écoutée chez Marie. Et c'est très beau de ta part de nous l'avoir offerte ici, chère Den. Merci et mes bisous
RépondreSupprimer
Réponses
Marie27 septembre 2017 à 14:27

Le partage est un bouquet de fleurs qui se multiplie pour le bonheur de tous!

J'aime beaucoup les créations de Michel Pépé...
Merci Den d'être passée sur mon blog
RépondreSupprimer
Réponses
Denise27 septembre 2017 à 17:18
Un tout grand merci chère Den de ce magnifique cadeau. De plus j'adore les musiques de Michel Pépé et sa flûte de pan. Quelle sérénité.
Je t'embrasse ♥
RépondreSupprimer
Réponses
marine D29 septembre 2017 à 07:47
Oui je la connais bien , elle signe son blog et sa poésie, merci Den;de douceur et de rêve...
RépondreSupprimer
Réponses
Françoise30 septembre 2017 à 11:48
Merci beaucoup pour cette gentille attention, Den. La musique est belle, les images sont magnifiques, que demander de plus ? Je t'embrasse.
RépondreSupprimer
Réponses

Ajouter un commentaire

Par Den :
Ecrire un commentaire :
Liens vers ce message :
Créer un lien :

Inscription à : Publier les commentaires (Atom)

La Rue

"A la terrasse d'un café, un homme regarde l'évolution d'un monde qu'il ne reconnaît plus ; un monde avec ses gestes nobles et indigents, ses mouvements et ses incohérences. S'il avait été peintre, il l'aurait dessiné mais ce monde-là aurait condamné à l'imaginaire et au sordide la fixité de l'image : cet univers de poussière, cette reproduction immuable des mêmes symptômes de la vie, ce cafouillage d'instants éternels, c'était la rue. Perdu dans la foule, isolé dans ses songes, cet homme qui n'a pas de nom,, observe ce long cheminement anonyme de destins qui se mêlent et s'entrecroisent sur le pavé. Avec l'oubli de soi-même qu'impose parfois le vide ou le trop plein de l'esprit, il regarde et s'enivre de solitude. En réalité, on lui avait "appris" à être seul ; c'était comme une manière de "ne pas être" chez lui.

Tout à coup, la nuit tombe comme un long manteau d'hiver, les étoiles montent aux arbres et le ciel ferme boutique. Il n'y a plus personne dans la rue sauf toujours cet homme, à la terrasse d'un café dont les portes sont closes. Plus rien que le silence et l'indifférence d'hier et d'aujourd'hui dans un rêve de folie lucide et presque élucidée. Et, sur ce boulevard abandonné aux déserteurs, elle apparaît avec son visage d'enfant des rues et son allure de femme amoureuse. Elle est belle, douloureusement belle pour l'homme dont le regard boit son ombre. Cette femme sans nom qui ne fait que passer et qui n'est pas tout à fait ni dans son monde, ni dans celui des autres, est balayée par le froid intense qui se dégage des murs.

Si elle était une fleur, elle serait sublime ; si elle était un parfum, elle serait envoûtante ; si elle était un paysage entier, elle serait généreuse et bienfaisante ; si elle était une oeuvre d'art, elle serait parfaite et donc ne serait pas. Mais, elle n'était qu'une femme et elle était fragile, comme une fleur, un parfum, un paysage entier ou même une oeuvre d'art".....(....)

L'autre moitié du songe m'appartient

Alicia Gallienne

Gallimard