mardi 12 avril 2016 - jeudi 22 août 2024
J'ai tant tenté d'enluminer d'éclat le jour ébouriffé
D'enflammer l'or du ciel délaissé
Tant en cantate qu'en sonate,
Tant en cantate qu'en sonate,
Comme Bamoravi embrase le clavecin-flûte
Et flatte les sanglots
En Presto Capricioso,
Et flatte les sanglots
En Presto Capricioso,
Nos yeux au regard cousu, dessillés.
Doux-aimés.....
Doux-aimés.....
A ma main croquevillée d'âme et de cil-anse
J'ai accroché la plus belle emmêlée de branches,
A ton Art-Preux délicat de lin brodé
Si près-cieux-aimant au bout du sentier,
L'infinitude de l'ombre plissée
L'infinitude de l'ombre plissée
A l'étoile du sOleil étoffée ...
Le temps avance et pose son espère-anse,
Froisse, érafle et gratigne nos ailes,
Mais il chante l'hymne à la Vie respirée
Sous une à-rosée d'arcs-anges messagers
Au coeur appelé.
Au coeur appelé.
Je plane et flâne dans la jaspure du cil-anse,
Friande de l'appétence des mots, au petit mât-teint,
Je joue et veille à la note perdue dans l'Haut-bois,
Dès l'aube crépusculaire
Jusqu'à l'or-aure or-rangée, au vieil or,
Entre brise et vent fort...
J'ai tant tenté.
Den
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billet retrouvé ce jour, écrit il y a bien longtemps, me plaît .... comme si c'était quelqu'un d'autre que moi qui l'avait rédigé......
Je vous l'offre à nouveau.
Den
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Un grand merci chère Den de nous offrir à nouveau ton magnifique poème, il est si beau.
RépondreSupprimerGros bisous et je te souhaite un merveilleux week-end ♥
Merci... Je me retrouve tout à fait dans ce poème...
RépondreSupprimer"Le temps avance et pose son espère-anse,
Froisse, érafle et gratigne nos ailes,
Mais il chante l'hymne à la Vie respirée"
Je t'adresse un très grand merci, Den, et je retiens entre autre la jaspure du silence et l'aurore orangée, je rêve avec toi et je veux voir l'horizon comme une symphonie ! Quelle jolie photo !
RépondreSupprimerBisous
Merci beaucoup Marine, Marie, Denise.
RépondreSupprimerJe vous embrasse.
Douce semaine.