Vincent Van Gogh
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La chambre à coucher (en Arles)
réalisée en Oct. 1888 est une
huile sur toile ;
dimensions : 72 x 90 cm.
Elle se trouve au Musée Van Gogh d'Amsterdam.
Van Gogh a choisi sa chambre dans la maison jaune comme sujet, en attendant la venue de Paul Gauguin avec qui il souhaite fonder un cercle d'artistes.
Les différents objets expriment ici : le solide, le simple, le confort, la chaleur, la sécurité, la tranquillité, l'ordre, le calme
Deux autres versions de ce tableau seront réalisées par l'artiste, avant que l'original ne soit restauré : la première version ayant été abîmée.
la 3e version, plus petite, (57 x 74) a été offerte à sa soeur
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Quand j'étais adonaissante sais-tu j'avais au dessus de mon lit une repro de la chambre à coucher de Van Gogh, j'aimais regarder ces formes simples que tu décris aussi un peu penchées qui m'intriguaient ...
RépondreSupprimerTu es dans un cycle peinture ? sourire, peins-tu toi-même ?
Je t'enrose pour la journée !
j'ai cru lire "agonisante", j'ai eu peur... ah ! "adonaissante", une belle expression qui définit la période comprise entre l'enfance et l'âge adulte...pas toujours facile,te cherchant comme un chacun, et du haut de ta chambre grande comme le monde, tu regardais accrochée, l'intimité du Maître en Arles...
SupprimerEffectivement je suis dans un cycle peinture... je ne peins pas moi-même, mais j'aime l'art pictural...les Arts en général..
je t'enrose à mon tour, Chère Veronica, et t'envoie les oouleurs fétiches de Vincent..
bisous
Un petit coucou, j'espère que tu vas mieux ?
RépondreSupprimerBisous
Chère Elisanne..
Supprimerj'ai pris un peu de retard... oui je vais mieux..
merci.. et Toi ?
Je t'embrasse.
Oh... Je l'avais, aussi, en très grand format, scotché sur tout un mur de ma chambre !
RépondreSupprimerJ'ai découvert cette toile à Orsay où je m'étais rendue un jour de grève de métro. Mes pieds, je crois, s'en souviennent encore !
Un tout petit tableau, posé presqu'à l'angle d'une issue, qui savait, à lui seul, stopper chaque pas et taire tous les murmures.
J'ai, moi, été confondue de bonheur face à ce bleu mêlé de bois blond et par ces objets usuels attentifs au bien être du lieu.
Cette peinture est si lumineuse, ce soleil cru et pâle semble percer la fenêtre et venir cueillir le meilleur du confiant de nos élans.
Ce monsieur "Vincent" devait connaître de belles heures où apaiser ses peines.
C'est curieux, j'avais déjà vu cette toile dans des bouquins
mais ce n'est que face à elle que m'est venue la joie d'y entrer.
Merci Den, je n'avais pas ouvert cette porte depuis bien longtemps
et plus que les murs de ma chambre,
c'est ce silence studieux du musée qui me revient
et ces quelques instants de belles émotions que j'y ai reçus.
Une toute belle journée à vous
... Et bien d'autres de ces jolies balades !
Cordialement,
Lydaine.
Que tu traduis bien la peinture.. je te remercie chère Lydaine..ce grand format scotché sur un pan du mur de ta chambre, redevenu tout petit tableau posé presque par inadvertance au Musée, mais dégageant par sa seule présence un long souffle pénétrant.. avec ses couleurs vives et sa touche personnelle s'enrichissent, fauves, de couleurs remarquables pour la période in Arles, comme ici, et Van Gogh emploie là des couleurs lumineuses et des juxtapositions de tons non conventionnelles, avec les teintes complémentaires.. et à travers la fenêtre entrouverte, le soleil d'octobre envoie ses meilleurs rayons de la saison automnale, et des relents de visite studieuse à Orsay te reviennent en mémoire et rajoutent de la joie au jour d'hui.
SupprimerJe t'embrasse chère Lydaine heureuse d'agrémenter la toile d'autres émotions !