mardi 7 mai 2019

*Dis-moi, c'est quand ?


*Dis-moi, c'est quand ?






Dis-moi, c'est quand, c'est quand ?
Quand l'arc-ange caché dans l'arène et le coeur du ciel se réveille et mêle-l'eau-et-dit l'harangue-hein, il appelle le bel oiseau avec son archet et frotte le son qui se répand, se prolonge dans la profonde-heure des choses, et l'en-faon soupire et polit le temps qui borde  le soleil et prend l'amen-tenant les trois loges, les trois lumières accrochées aux étoiles,
Angel, La Musique, Violon, Décoration

Le merveilleux enfant qui en-chante l'âme et le fil de soie veut entendre ce que lent ne dit pas derrière les mots, les crochets ; la femme-met des très-ors dans la vie, assise par terre à regarder les cailloux sur le mur en corps ou près des nuages d'ombre et de solitude.

Je mêle au grain du vent  mon bonheur du jour mon oeil oui lippe qui s'accroche-coeur à la peau ici de tous mes voyages, emportée dans un élan qui souffle l'air, la ligne ou l'eau, je n'sais.

Vers l'ailleurs, m'en souvenant, je plume usant fort l'écorce de l'heure tardive quand art-rive le souard, en séant en tailleur en plumard, et là j'oublie tout ce tant intemporel qui passe comme passe le vent, le vin, sous le vent, j'abandonne les cendres les mégots les funestes fumées pour redevenir jeune.

Je cherche l'embellie, l'imperceptible à la porte du ciel, l'étoile, l'Avent pour ranger mes mots venant longs, prestes et agiles.

J'arc-humante et sais-d'hui avec peu d'hello-qu'anse, mais l'eau-danse au fond du puits de l'âme de toi. Coule-heures.

Je regarde loin le monde beau en coeur une foi, c'est qu'adoré !

Je t'embrasse du bord de mon imaginaire effleuré qui en aube pointée entrera aux premières lueurs matinales quand les senteurs bon la nuit, s'endormiront en hymne-âge dans une robe parfaite de cristal.


9 commentaires:

  1. Un joli texte poétique qui nous offre des portes ouvertes sur des ciels étoilés...

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  2. Ma chère Den, je te rassure tout de suite (si tant est que tu en aies besoin), tu as peut être perdu de ta mobilité et force physique mais l'esprit est toujours aussi vif, les mots qui s'accrochent, rebondissent et le sens de la poésie sont toujours bien ancrés en toi. Grand plaisir a voir tes pages reprendre de la couleur.
    Bien amicalement
    Chinou

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  3. Ton écriture est toujours aussi belle et poétique, Den ♥
    Merci.
    Je t'embrasse très fort, ma douce.

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  4. Merci chère Den pour tes jolis et doux mots que j'ai toujours plaisir à lire.
    Je t'embrasse ♥

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  5. Merci les Âmies pour vos mots qui réchauffent mon coeur.Je vais mieux, bien qu'actuellement je ressens - et c'est normal-, le choc physique et moral. J'ai eu beaucoup de chance. Je me sers de mes membre. mon pied gauche n'a pas récupéré toute sa force, mais je progresse de jour en jour. J'ai besoin de marcher, de bouger.....Mes séances de kiné me font du bien, et j'ai tant de volonté : je m'en sortirai.
    Prenez bien soin de VOUS. La vie ne tient qu'à un fil.... et attention aux diagnostics des médecins . Le mien avait tout faux.... Gravement... pourtant je le connaissais depuis 25 ans...et refusait que je vois un neurologue.... c'est trop tôt, il disait... alors que j'avais une cocotte minute dans le cerveau (prête à exploser à tout instant) qui me provoquait ces problèmes de marche..INCROYABLE !
    Dieu merci j'ai toujours ma tête, pas de problème intellectuel !
    j'ai vu tant de souffrances et de solitude autour de moi !

    bisous Marie,Chinou, Françoise, Denise.
    Je languissais de vous, de vos mots, nos images.
    Den

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  6. Prends bien soin de toi Den je vois ce petit ange il est là juste pour te tenir la main et te donner du courage et le sourire !
    Il ne faut pas craindre de changer de médecin, je l'ai fait plusieurs fois, on ne peut pas faire confiance les yeux fermés, c'est certain !
    Bisous Den

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  7. J'ai décroché pour toi Marine quelques touches de sOleil, enflammé tes nuages grisailles, soupiré et rêvé dans les rues-ailes du cil-anse, et accroché à l'aire preste de mon coeur le prin-tan pas vu passé, un mini brin de pensée. Là je m'endors près de l'ange-l'haut, clopinant dans mes rêves les plus doux dans l'éphémère de la nuit bientôt oubliée.
    heureux dimanche Marine.
    Je t'en brasse âmical'aimant.
    Den

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  8. Avec la poésie que tu manie joliment je vois que tu reprend du poil de la bête Den et c'est tant mieux, ça me fait plaisir, prends soin de toi !
    Bisous !

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Par Den :
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