*J'ai tant tenté...
J'ai
tant tenté d'enluminer d'éclat le jour ébouriffé
D'enflammer
l'or du ciel délaissé
Tant en cantate qu'en sonate,
Tant en cantate qu'en sonate,
Comme
Bamoravi embrase le clavecin-flûte
Et flatte les sanglots
En Presto Capricioso,
Et flatte les sanglots
En Presto Capricioso,
Nos
yeux au regard cousu, dessillés.
Doux-aimés.....
Doux-aimés.....
A
ma main croquevillée d'âme et de cil-anse
J'ai
accroché la plus belle emmêlée de branches,
A
ton Art-Preux délicat de lin brodé
L'infinitude de l'ombre plissée
A
l'étoile du sOleil étoffée ...
Le
temps avance et pose son espère-anse,
Froisse,
érafle et gratigne nos ailes,
Mais
il chante l'hymne à la Vie respirée
Sous
une à-rosée d'arcs-anges messagers
Au coeur appelé.
Au coeur appelé.
Je
plane et flâne dans la jaspure du cil-anse,
Friande
de l'appétence des mots, au petit mât-teint,
Je
joue et veille à la note perdue dans l'Haut-bois,
Dès
l'aube crépusculaire
Jusqu'à
l'or-aure or-rangée, au vieil or,
J'ai tant tenté.
Den
Tant tenté, encore et toujours et ce temps qui passe et après lequel on court et qu'on ne rattrape pas...
RépondreSupprimerIl faut toujours tenter et ne pas avoir de regrets, voilà mon moteur. Merci pour tes mots qui s'entrelacent et qui m'emportent. Bises alpines et belle journée
Tout à fait d'accord avec toi Dédé, ni regrets ni remords...
Supprimerbisou et merci.
bon week-end.
La poésie pure chez toi..........et au saut du lit ou presque, c'est l'aube qui renaît!
RépondreSupprimerBises!
Que de bienveillance envers moi.
SupprimerTu es gentille Anne.MERCI.
De gros bisous.
Tu as tant tenté...et tu as réussi à m'émerveiller de bon matin... C'est magnifique.
RépondreSupprimerMon âme croquevillée c'est très joli ça.
Et nos yeux au regard cousu, c'est si lourd de sens
Merci pour ce splendide poème, Den
•.¸¸.•*`*•.¸¸✿
Merci chère Célestine....
SupprimerDoux week-end à toi.
Je t'en brasse en rubans beaux colorés.
Une poésie qui émerveille où les mots dansent sur des musiques d'émotions!
RépondreSupprimer***
Sur des notes de silence
A l'image d'une "fête triste"
Jouée par St Preux
Et qui s'enchevêtre dans l'ombre,
En quête d'étoiles et de lumière...
C'est un bouquet d'espérance
Au souffle imprévisible
Des vents du temps,
Des vents du temps qui passe...
Merci à toi Marie pour tes mots toujours pleins de poésie.
SupprimerTenté...........C'est déja presque l'obtenir.
RépondreSupprimerle bienvenu chez moi...dans les allées de mes mots et mes images.
SupprimerMerci.
Den