mardi 31 août 2021

*Une ressemblance physique en héritage...



Je m'éloigne de la photo puis la retrouve aussitôt, tentant de détecter la moindre ressemblance, le moindre indice entre maman et moi, enfant, celle qu'elle a pu être, au même âge, dans le représentation de sa réalité, sans embellissement pour la rendre plus attrayante.

Un trait reconnaissable parmi d'autres, une similitude visuelle, une ressemblance physique en héritage détectée, criante dans son identité évidente, extrême, profonde.

Une image pour se souvenir....

Den





***

 

6 commentaires:

  1. Réponses
    1. Merci Marie.
      En retour vers vous aussi.
      "bonne journée".

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  2. Je n'ai jamais douté de mon identité, mais je sais que ce sentiment peut ronger toute une existence.
    Bisous Den

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    1. Là il n'est nullement question de doute, il s'agit de remonter la source et connaître son ascendance, ses origines. Je le disais ailleurs elle n'a jamais éprouvé le besoin de cette reconnaissance... peut-être seulement vers la fin, nous en parlions sur la pointe des pieds, du coeur..c'est une chose qu'elle taisait, peut-être... cela m'a toujours étonnée, étonnée, vraiment... comment peut-on vivre sans savoir d'où l'on vient, ou en partie... comment de pas avoir le désir de compléter le puzzle... je n'aurais jamais pu vivre ainsi... mais je ne la juge pas. C'était comme cela pour elle, maman, ma maman.
      Ce manque a été compensé par la famille de papa, une très grande famille en nombre, et par la famille construite, dont je suis la fille ainée, puis ma soeur, mon frère.
      Papa dès leur mariage a tenté de remonter la filière, suivre le fil doré, mais pas possible... la sage-femme était décédée, le médecin remarié, et à cette époque il n'était pas donné l'accès aux données personnelles, même si le dossier en possédait. Maintenant fort heureusement c'est possible...
      Merci Marine.
      Bisous aussi.

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  3. Merci chère Den pour ces belles roses pour te souvenir, j'aime tes mots.
    Gros bisous et bel après-midi ♥

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    1. Oui pour se souvenir,deux roses de son jardin fixées à jamais sur la page, quasiment identiques. Il n'y a que la couleur qui change.

      Merci Denise pour tes mots.

      De gros bisous aussi et bonne soirée.

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Par Den :
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