Je m'aménage un lieu
Avec ce paysage
Avec ce paysage
Assez lointain pour être
Et n'être que le poids
Qui vient m'atteindre ici.
Et n'être que le poids
Qui vient m'atteindre ici.
J'émerge de ce poids,
Je m'aménage un lieu
Avec ce paysage
Qui tournait au chaos.
Je m'aménage un lieu
Avec ce paysage
Qui tournait au chaos.
Dans ce qu'il deviendra
Je suis pour quelque chose.
Je suis pour quelque chose.
Peut-être j'y jouerai
Des bois, des champs, de l'ombre,
Du soleil qui s'en va.
J'y régnerai
Jusqu'à la nuit.
Jusqu'à la nuit.
J'avoue ne pas être en osmose avec l'auteur dans ses et ces vers qui font sur moi l'effet d'une chape de plomb.
RépondreSupprimerGuillevic, l'éternel apprenti, amarré au réel, poète de l'espace il s'engage sur les chemins du concret et pourtant troubadour de l'écrit, entre poésie et abstraction dans ses livres illustrés. Ses mots sont le monde et l'être.
SupprimerTu as compris Chinou que j'aime Guillevic, même avec sa complexité, sa quête.
« Ma poésie est solidaire, elle est avec. »
Merci pour ton commentaire Chinou, et un joli dimanche.
Je t'embrasse.
Bonjour ma chère Den, merci pour cette superbe photo et les mots de Guillevic.
RépondreSupprimerJe te souhaite un excellent week-end.
Mes amitiés et gros bisous ♥
Merci à toi ma chère Denise.
SupprimerEn retour, amitiés et bisous.
Peut-être que cette beauté apportera à tous ceux qui la contemple un peu de paix et d'espérance
RépondreSupprimerJe l'espère aussi.
SupprimerMerci Marie.
Beau dimanche à toi.