J'entends simpl'aimant tes mots profonds assombris trébuchants
Sans les dire les écrire
Silencieux sur le sentier taiseux qui accueille.
Je décrypte les tons de ta palette de peintre
La poésie ses traits qui pèsent sur la peau.
Dénudée au fond du fond qui déplie à la porte ton aile légère...
La tendresse perdure, mais tu dérives
Tu trottes pas à pas comptés ...
Ta place de papa, papy, ami,...
Ta vie qui étale à sa fenêtre son tant cendré
L'écho soufflé s'amenuise au plus loin de toi d'eux de nous.
Ton carat d'or à l'éclat pareil au jour orne l'écrin....
La fièvre est à venir..
Tu demeures le sel de la sagesse ses grains et le sable qui repose,
L'horizon du là-haut
L'horizon du là-haut
L'entrain vital accueillant au coeur défait
La drupe charnue et son fruit abondant qui nourrissent et tracent.
L'août qui défile derrière la vitre retient son temps dévoré trop tôt...
Le mistral agite le paysage vert et bleuté
Et j'attends et regarde et crains accrochée,
Bousculée. Asséchée.
J'espère.
Je me donne encoeur' derrière l'écran la plume
Au centre de mes sentiments,
Coeur-roi il
Au centre de mes sentiments,
Coeur-roi il
Ouvre mes yeux et retiens mon frisson
Soupir
Souvenirs
Sur la route agrandie, son ciel assombri se mire
J'essaye de me préparer à cette absence,
Peut-être...
Tout tremble et tourne
Heures après heures...
Et je vis déchirée,
Respire sur les lignes parfumées
Ton avenir d'eau claire qui éclaire et enlumine la rose de l'onde...
Tu t'endors sur les cahiers intimes de tes creux
Héritage pour tes tous petits
Dans l'air la vêprée frémissante s'appuie sur les erreurs les émois indulgents
L'horizon plein de douceur réunit et atteint le ciel
Qui relie les mondes
Toutes choses enfilées.
Leurs souffles au long cours leurs rires et leurs sanglots.
Den
le 4 août 2020
Et je vis déchirée,
Respire sur les lignes parfumées
Ton avenir d'eau claire qui éclaire et enlumine la rose de l'onde...
Tu t'endors sur les cahiers intimes de tes creux
Héritage pour tes tous petits
Dans l'air la vêprée frémissante s'appuie sur les erreurs les émois indulgents
L'horizon plein de douceur réunit et atteint le ciel
Qui relie les mondes
Toutes choses enfilées.
Leurs souffles au long cours leurs rires et leurs sanglots.
Den
le 4 août 2020
Qu'est- ce que c'est qu'une "drupe"?
RépondreSupprimerA part cela, il y a ici une ambiance, une atmosphère.
Nous devrions tous, un jour, nous préparer à l'absence......;invévitable!
Bises Den à qui j'ai écrit, oui!
Drupe, Anne, simplement un fruit charnu à noyau....
SupprimerIl faudrait, évidemment s'y préparer. Les journées se suivent et ne se ressemblent pas....
Dur quand on dit que le temps est limité et que pourtant la force se force, et le désir de vivre combattif....
merci à toi d'être toujours présente quand il le faut..
bisous
Tes mots sont très touchants chère Den, un grand merci.
RépondreSupprimerDe tout coeur avec toi
Je t'embrasse ♥
Merci pour ta présence également Denise.
SupprimerBisous
On ressent de l'amour, du regret, de l'espoir dans ce très beau texte Den, j'espère que ton coeur va bien.
RépondreSupprimerPeux-ton se préparer à l'absence de ceux que l'on aime ?
Pour ce qui est de ma main ce n'est pas encore guéri, c'est long mais je tape avec l'index, à droite...
Je t'embrasse fort Den
Mes mots sont complexes mais expriment mon ressenti... ce que l'on ne peut pas dire avec des traits plus clairs. Mais toi tu comprends, je le sais..
SupprimerMon coeur va bien mais a du mal pour nos proches qui souffrent.
Courage pour ton problème avec ta main.
Je t'embrasse aussi très fort.
BISOUS
Les mots dessinent nos regrets
RépondreSupprimerLes mots peignent nos espoirs
Les mots dansent des gribouillis sans fin
es graffitis de nostalgie
Les mots sont là
Pleurs et chagrins
Bonheur ou joie
Pardons et regrets
Merci pour ce beau poème dessiné sur ma page qui me parle.
RépondreSupprimerDoux dimanche, et merci pour ta fidélité, Marie.