*Je me faufile, moi la petite fille, entre les pages...
1952.....
Je me faufile, moi la petite fille, entre les pages.
J'ai six ans, et bientôt je quitterai la campagne pour la ville.
Je rentre à l'école primaire du cours sextius, au CP, et j'ignore encore la vie qui sera demain.
Den
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Le CP une porte qu'on ouvre vers le monde des grands où la lecture des mots dévoilera ses mystères
RépondreSupprimerC'est bien ce que je ressentais face à cette porte entre ouverte vers l'inconnu... le monde des plus grands... et de la campagne à la ville c'était également toute une aventure !... tout un chamboulement dans la vie d'une petite fille qui grandirait bientôt découvrant par la lecture des mots un monde vivant qui s'explique, qui prend sens, qui associe le mot à l'image en décortiquant les lettres et les associant entre elles ! merci Marie.
SupprimerTu as aimé les mots, Den, n'est ce pas ? Lire et écrire ce qui nous a ouvert à la vie, aux autres, aux joies de communiquer. C'est chouette de mettre tes souvenirs par écrit. Pour tes enfants et petits enfants c'est important et pour toi, bien-sûr. Savoir d'où nous venons. Bonne continuation, Den. Bises
RépondreSupprimerJ'ai aimé, Fifi, et je continue d'aimer les mots... lire, écrire, oui... la découverte de ce qui constitue l'assemblage des lettres qui deviennent des images qui représentent elles-mêmes la vie... Je suis heureuse d'avoir pu conserver ces instants qui construisent, et constituent ce que l'on est aujourd'hui pour demain, nous qui serons les aïeux de nos tous-petits et ceux qui arriveront après nous !
SupprimerMerci à toi.
De gros bisous.
Et heureux week-end à venir.
Une partie de l’enfance résumée en quelques mots
RépondreSupprimerTout à fait. Ces quelques mots annoncent ce que sera la vie apprise dans les livres, en classe, et en ville !
Supprimermerci Robert.
Douce journée.