*dé-roulé, dé-tricoté...........
J'ai
dé-roulé dé-tricoté l'échelle de lit ennuagée
Déposé
sa descente d'ombre et d'eau-de-vie d'or
Dans
les allées de son ci-aile
Une
écharpe de mots dévorants.
J'ai
levé mon regard églisé
Autour
de l'essence-ciel
Emperlé
de gouttes de pluie.
Mon
tout bat en coeur d'instant en volée
Dans
les plis de mon âme des cadenas-sais,
Âmie,
Âmi !
Empreint
d'an au bras du jour
J'ai
pris ta main croquevillée
Transie
du froid du bout des Moi, des sens solidaires.
Le
vent soufflant tient le là-haut
Et
remue les plaies du ciel.
J'ai
ligoté le Haut juponné
A
l'envers des nues-âges
La
beauté lumineuse
L'arrosoir
du sOleil.
Ils
nagent les nuages comme des boîtes gigantales,
Comme
des émaux s'enverraient des années en-chevets-très...
Le
ciel est devenu laiteux et pleure, et médite
Comme
ton inter-rieur...
Il
éclaire le reste du jour effiloché
Et
ré-invente la juste place qui permet à l'âme rêve-oeillet
De s'aérer, et dé-chaîner
De s'aérer, et dé-chaîner
L'amour
attaché.
Den
❤
❤
Bravo chère Den pour cette belle page poétique et de ciel bleu !
RépondreSupprimerC'est beau, et ça fait du bien. Bravo Den. Merci aussi!
RépondreSupprimerUn ciel qui pleure, c'est beau quand même. Merci Den de nous faire voyager au pays de tes mots enchanteurs. Bises alpines et belle semaine.
RépondreSupprimerMerci mes Âmies, Fifi, Anne, Dédé pour vos mots toujours délicats.
SupprimerDouce journée à chacune d'entre vous.
Je vous embrasse en vous offrant un beau bouquet de coquelicots afin qu'il tapisse ma page à l'odeur de jasmin naissant.
Den
ps : et belles vacances si vous en prenez, et je vous dis à bientôt le coeur rempli d'affection emperlée.